Au Kenya, toujours difficile de prédire le résultat de l’élection présidentielle de lundi. D’un dépouillement portant sur 80% des suffrages, le vice-premier ministre Uhuru Kenyatta préserve sa légère avance sur son rival, le premier ministre Raila Odinga. Mais on ne pense pas que ce sera assez pour éviter un second tour en avril.
Le président de la Commission électorale Ahmed Issack Hassan a promis d’annoncer aujourd’hui-même les résultats, disant que les membres de sa commission mettaient les bouchées doubles pour pouvoir le faire.
"Nous travaillons 24 heures sur 24 pour pouvoir annoncer le résultat aujourd'hui mais les choses ne se passent pas toujours comme prévues", a-t-il déclaré.
A cause de diverses défaillances techniques dans le dépouillement par voie électronique, les responsables électoraux des 291 circonscriptions du pays doivent amener, en personne, leurs résultats à Nairobi. Les « couacs informatiques » de ces derniers jours ont, en effet, forcé les membres de la Commission électorale à procéder à un décompte manuel des bulletins de vote.
Les partis politiques ne cachent pas leur impatience. Par exemple, jeudi, l’alliance CORD de M. Odinga avait demandé à la Commission électorale d’arrêter purement et simplement le dépouillement, parlant d’irrégularités dont, et je cite, « des résultats truqués » dans certains bureaux où le nombre de votants était supérieur à celui des inscrits.
La Commission électorale a démenti de telles allégations, et son président Ahmed Issack Hassan a dit que les résultats reçus et diffusés en direct à travers le pays sont corrects et crédibles, et reflètent la volonté des gens qui ont voté dans les circonscriptions concernées.
Le président de la Commission électorale Ahmed Issack Hassan a promis d’annoncer aujourd’hui-même les résultats, disant que les membres de sa commission mettaient les bouchées doubles pour pouvoir le faire.
"Nous travaillons 24 heures sur 24 pour pouvoir annoncer le résultat aujourd'hui mais les choses ne se passent pas toujours comme prévues", a-t-il déclaré.
A cause de diverses défaillances techniques dans le dépouillement par voie électronique, les responsables électoraux des 291 circonscriptions du pays doivent amener, en personne, leurs résultats à Nairobi. Les « couacs informatiques » de ces derniers jours ont, en effet, forcé les membres de la Commission électorale à procéder à un décompte manuel des bulletins de vote.
Les partis politiques ne cachent pas leur impatience. Par exemple, jeudi, l’alliance CORD de M. Odinga avait demandé à la Commission électorale d’arrêter purement et simplement le dépouillement, parlant d’irrégularités dont, et je cite, « des résultats truqués » dans certains bureaux où le nombre de votants était supérieur à celui des inscrits.
La Commission électorale a démenti de telles allégations, et son président Ahmed Issack Hassan a dit que les résultats reçus et diffusés en direct à travers le pays sont corrects et crédibles, et reflètent la volonté des gens qui ont voté dans les circonscriptions concernées.