Uhuru Kenyatta, le candidat aux élections présidentielles kenyanes qui fait face à des accusations internationales de crimes contre l'humanité, tenait une large avance sur ses adversaires mardi soir dans le scrutin présidentiel du pays.
Avec près de la moitié des bulletins dépouillés, des résultats non officiels donnaient une avance à M. Kenyatta sur son principal rival, le Premier ministre Raila Odinga, par une marge de 53% contre 43%.
Selon les autorités, les résultats complets provisoires devront être publiés ce mercredi.
Les responsables électoraux indiquent que près de 330.000 bulletins de vote ont été rejetés pour non-conformité avec les règles électorales.
Pour l’emporter dès le premier tour il faut obtenir plus de 50% des suffrages exprimés, ce qui fait dire à certains analystes que M. Kenyatta n'atteindra pas ce score, et qu’on s’achemine vers un second tour en avril.
M. Kenyatta, fils du premier président du Kenya et l'un des hommes les plus riches d'Afrique (d’après le magazine américain Forbes), fait face à un éventuel procès devant la Cour Pénale Internationale (CPI) pour avoir prétendument financé des escadrons de la mort contre les partisans de l'opposition suite aux élections contestées de 2007.
Plus de 1.000 personnes avaient été tuées dans les violences et des centaines de milliers d'autres avaient été contraintes de fuir leurs foyers.
Mardi, le directeur de campagne de M. Odinga, avait déclaré à la Voix de l’Amérique que le Premier ministre allait rattraper son retard avec le décompte des votes dans les bastions de M. Odinga.
Avec près de la moitié des bulletins dépouillés, des résultats non officiels donnaient une avance à M. Kenyatta sur son principal rival, le Premier ministre Raila Odinga, par une marge de 53% contre 43%.
Selon les autorités, les résultats complets provisoires devront être publiés ce mercredi.
Les responsables électoraux indiquent que près de 330.000 bulletins de vote ont été rejetés pour non-conformité avec les règles électorales.
Pour l’emporter dès le premier tour il faut obtenir plus de 50% des suffrages exprimés, ce qui fait dire à certains analystes que M. Kenyatta n'atteindra pas ce score, et qu’on s’achemine vers un second tour en avril.
M. Kenyatta, fils du premier président du Kenya et l'un des hommes les plus riches d'Afrique (d’après le magazine américain Forbes), fait face à un éventuel procès devant la Cour Pénale Internationale (CPI) pour avoir prétendument financé des escadrons de la mort contre les partisans de l'opposition suite aux élections contestées de 2007.
Plus de 1.000 personnes avaient été tuées dans les violences et des centaines de milliers d'autres avaient été contraintes de fuir leurs foyers.
Mardi, le directeur de campagne de M. Odinga, avait déclaré à la Voix de l’Amérique que le Premier ministre allait rattraper son retard avec le décompte des votes dans les bastions de M. Odinga.