Percée jeudi dans les recherches pour retrouver la trace du vol MH370 de la compagnie aérienne de la Malaisie, l’avion disparu depuis le 9 mars. Les autorités australiennes ont annoncé que des images prises par un satellite australien montrent des débris non identifiés flottant à quelques 2.500 kilomètres au sud-ouest de Perth, dans l'Océan Indien. Ces débris pourraient être des restes de l'avion de ligne disparu avec 239 passagers à bord, une heure environ après avoir décollé de Kuala Lumpur à destination de Beijing en Chine.
L’Australie a déployé des avions de recherche et des navires dans la région pour tenter de retrouver les débris et de les identifier avec plus de certitude.
Selon les média, le Hoegh St. Petersburg, un cargo norvégien transportant des voitures, qui était en route pour Melbourne après avoir quitté Madagascar, a été le premier à atteindre la zone de recherches, à la demande des autorités australiennes.
Pour le Premier ministre australien, qui s’exprimait devant le parlement australien, les dernières informations sont « nouvelles et crédibles ». Toujours selon Tony Abbott, « l'autorité de sécurité maritime australienne a reçu des informations reposant sur l'imagerie satellitaire concernant des objets qui pourraient être liées aux recherches » pour retrouver l’avion disparu. « Après analyse de ces images satellitaires, deux objets possibles liés aux recherches ont été identifiés », a-t-il poursuivi.
Un avion Orion de la Royal Australian Air Force a été détourné dans le but de localiser les objets détectés, a poursuivi le Premier ministre.
De son côté, John Young, le directeur général de l'autorité maritime de l’Australie, a affirmé que le plus grand des objets mesure environ 24 mètres de large.
« Les objets sont relativement indistincts ... Je ne prétends pas m’y connaitre en évaluation de l'imagerie. Mais les experts indiquent qu'il s’agit d’observations crédibles. Pour moi, il s’agit d’objets qui sont d'une taille raisonnable et probablement saturés d'eau, qui font surface et disparaissent à tour de rôle », a déclaré M. Young.
Pour l’instant, l'imagerie satellitaire ne permet pas de déterminer si les débris portent des marques ou caractéristiques qui pourraient confirmer qu’il s’agit bien de l’appareil disparu.
Les objets ont été repérés dans une partie de l'océan qui, selon les autorités, mesurerait plusieurs milliers de mètres de profondeur. Quatre avions dotés des radars maritimes nécessaires aux recherches ont été déployés par l’Australie, la Nouvelle-Zélande et les États-Unis.
Bien que la météo dans la région soit relativement bonne, la visibilité n'est pas idéale, ont fait valoir les autorités, ce qui pourrait entraver les recherches. Un avion Hercules C130 a également été dépêché sur les lieux, pour lâcher des bouées qui permettraient notamment de détecter les courants marins, afin de déterminer dans quelle direction les débris pourraient avoir été emportés.
Les autorités ont également averti que jusqu'à confirmation de l’identité des débris, il n’est pas possible de dire s’il s’agit bel et bien de l’appareil disparu.
L’Australie a déployé des avions de recherche et des navires dans la région pour tenter de retrouver les débris et de les identifier avec plus de certitude.
Selon les média, le Hoegh St. Petersburg, un cargo norvégien transportant des voitures, qui était en route pour Melbourne après avoir quitté Madagascar, a été le premier à atteindre la zone de recherches, à la demande des autorités australiennes.
Pour le Premier ministre australien, qui s’exprimait devant le parlement australien, les dernières informations sont « nouvelles et crédibles ». Toujours selon Tony Abbott, « l'autorité de sécurité maritime australienne a reçu des informations reposant sur l'imagerie satellitaire concernant des objets qui pourraient être liées aux recherches » pour retrouver l’avion disparu. « Après analyse de ces images satellitaires, deux objets possibles liés aux recherches ont été identifiés », a-t-il poursuivi.
Un avion Orion de la Royal Australian Air Force a été détourné dans le but de localiser les objets détectés, a poursuivi le Premier ministre.
De son côté, John Young, le directeur général de l'autorité maritime de l’Australie, a affirmé que le plus grand des objets mesure environ 24 mètres de large.
« Les objets sont relativement indistincts ... Je ne prétends pas m’y connaitre en évaluation de l'imagerie. Mais les experts indiquent qu'il s’agit d’observations crédibles. Pour moi, il s’agit d’objets qui sont d'une taille raisonnable et probablement saturés d'eau, qui font surface et disparaissent à tour de rôle », a déclaré M. Young.
Pour l’instant, l'imagerie satellitaire ne permet pas de déterminer si les débris portent des marques ou caractéristiques qui pourraient confirmer qu’il s’agit bien de l’appareil disparu.
Les objets ont été repérés dans une partie de l'océan qui, selon les autorités, mesurerait plusieurs milliers de mètres de profondeur. Quatre avions dotés des radars maritimes nécessaires aux recherches ont été déployés par l’Australie, la Nouvelle-Zélande et les États-Unis.
Bien que la météo dans la région soit relativement bonne, la visibilité n'est pas idéale, ont fait valoir les autorités, ce qui pourrait entraver les recherches. Un avion Hercules C130 a également été dépêché sur les lieux, pour lâcher des bouées qui permettraient notamment de détecter les courants marins, afin de déterminer dans quelle direction les débris pourraient avoir été emportés.
Les autorités ont également averti que jusqu'à confirmation de l’identité des débris, il n’est pas possible de dire s’il s’agit bel et bien de l’appareil disparu.