Le Secrétaire général de l’Onu s’est félicité jeudi des accords intervenus entre les gouvernements du Soudan et du Soudan du Sud. Ces accords qui portent sur la sécurité, les frontières communes et les relations économiques, sont « essentiels pour établir des fondations solides pour un avenir stable et prospère entre les deux pays », a estimé Ban Ki-moon
Ils ont été paraphés par les président Omar el-Béchir et Salva Kiir lors d’une cérémonie à Addis-Abeba en Ethiopie, au terme de quatre jours de négociations.
Néanmoins, M. Ban a regretté que les deux dirigeants n’aient pu se mettre d’accord sur le statut d’Abyei, région riche en pétrole, et il a appelé les deux Soudans à poursuivre leurs efforts pour résoudre ce différent. Par ailleurs, il s’est dit préoccupé par la poursuite de la crise humanitaire dans les deux Etats du Sud-Kordofan et du Nil bleu, très affectés par la violence entre le Soudan et le Soudan du Sud.
Mardi, le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) a indiqué qu'une reprise des attaques aériennes et terrestres dans l'Etat du Sud-Kordofan a entrainé un nouvel afflux de déplacés vers le Soudan du Sud.
Les accords signés jeudi prévoient entre autre la mise en place d’une zone démilitarisée entre les deux pays et la reprise par le Soudan du Sud de ses exportations de pétrole par les pipelines du nord. Ils envisagent également la création d’une zone transfrontalière qui facilitera les mouvements de populations, troupeaux et biens, sans entraves aucunes.
Pour convaincre les deux Soudans à se mettre d’accord, l’Onu avait brandi la menace de sanctions.
Ils ont été paraphés par les président Omar el-Béchir et Salva Kiir lors d’une cérémonie à Addis-Abeba en Ethiopie, au terme de quatre jours de négociations.
Néanmoins, M. Ban a regretté que les deux dirigeants n’aient pu se mettre d’accord sur le statut d’Abyei, région riche en pétrole, et il a appelé les deux Soudans à poursuivre leurs efforts pour résoudre ce différent. Par ailleurs, il s’est dit préoccupé par la poursuite de la crise humanitaire dans les deux Etats du Sud-Kordofan et du Nil bleu, très affectés par la violence entre le Soudan et le Soudan du Sud.
Mardi, le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) a indiqué qu'une reprise des attaques aériennes et terrestres dans l'Etat du Sud-Kordofan a entrainé un nouvel afflux de déplacés vers le Soudan du Sud.
Les accords signés jeudi prévoient entre autre la mise en place d’une zone démilitarisée entre les deux pays et la reprise par le Soudan du Sud de ses exportations de pétrole par les pipelines du nord. Ils envisagent également la création d’une zone transfrontalière qui facilitera les mouvements de populations, troupeaux et biens, sans entraves aucunes.
Pour convaincre les deux Soudans à se mettre d’accord, l’Onu avait brandi la menace de sanctions.