Les trois personnes avaient été arrêtées mardi au domicile du Britannique. Ils étaient soupçonnés de recruter pour les shebab, ce groupe jihadiste somalien affilié à Al-Qaïda et qui a mené de nombreuses attaques meurtrières au Kenya.
"L'équipe d'enquêteurs n'a fourni aucune preuve jusqu'à présent", "voilà pourquoi ils ont tous été libérés", a déclaré le responsable de la police sous couvert d'anonymat.
"L'enquête se poursuit", a-t-il ajouté.
Le Britannique travaille dans une compagnie de relations publiques, où il mène des recherches sur les shebab et le contre-terrorisme, selon le site internet de cette compagnie.
Cette affaire constitue un faux-pas pour la police kényane qui avait mené une lourde opération pour cette arrestation, avec de nombreux agents mobilisés et la présence du chef des enquêtes.
Avec AFP