La garde présidentielle burkinabè renonce donc à réclamer la démission de Zida, qui s'est engagé pour sa part à ne pas dissoudre ce corps d'élite, selon plusieurs sources militaires à l’AFP.
Une crise a pris place, paralysant même le conseil du gouvernement, alors que le lieut-col Zida qui était en fait le numéro deux du régiment de la garde présidentielle sous l’ex-président Blaise Compaoré, avait initié une démarche pour dissoudre l’unité.
En revanche, la garde présidentielle, son côté, s’est engagé à tout bloquer jusqu’à l’obtention de la démission de Zida.
Tout semble revenir à la normale après des tractations.