Des plantations de cacao dans une réserve forestière ivoirienne
En Côte d’Ivoire, des décennies de culture intensive du cacao ont fait du pays le premier producteur mondial en la matière. La stratégie a conduit à un développement économique rapide, mais les retombées environnementales ont été brutales : des milliers d’hectares de forêts ont été détruits. Désormais, une politique forestière gouvernementale, une législation de l'Union européenne et une surveillance plus stricte de la chaîne d'approvisionnement se conjuguent pour maîtriser les dégâts. Immersion dans la réserve forestière de Rapides-Grah où se cachent un certain nombre de plantations de cacao illégales.