Constant Omari avait gardé le silence depuis sa sortie de garde à vue où il avait passé 24h au parquet de Matete à Kinshasa.
Ressorti libre, il avait simplement écrit sur Twitter : "Sincères remerciements aux autorités de notre vraie Justice qui ont finalement réalisé qu'on ne peut pas porter atteinte aux Responsables que nous sommes sur base des mensonges, haine et jalousie."
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Ce dimanche 22 avril, Constant Omari a quitté Kinshasa pour se rendre à l'étranger en mission pour la Confédération africaine de Football.
Cela prouve que son passeport ne lui a pas été confisqué et qu'il ne lui ait pas "interdit de voyager contrairement aux mauvaises langues", selon le président de la Fecofa.
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Constant Omari veut rétablir la vérité et s'en prend à ceux qui ont voulu le déstabiliser. Il défend son honneur et réaffirme qu'il n'a jamais touché, ni détourné le prétendu million de dollars parce que la Fédération ne l'a jamais reçu.
Pire, les regards se tournent vers les autorités congolaises, en particulier l'actuel ministre des sports, Papy Niango, puisque le gouvernement n'a jamais décaissé le moindre franc congolais pour les matches de la Tanzanie et du Nigeria.
Vice-président de la CAF et membre du Comité exécutif de la FIFA, Constant Omari regrette que cette affaire ne nuise à son image et celles des trois autres personnes entendues dans cette affaire.
Joint par VOA Afrique, le Malgache Ahmad, président de la CAF, apporte tout son soutien à son vice-president.
"Je remercie la justice congolaise qui a prouvé qu’il n’y a rien contre Constant Omari et je déplore l’attitude de certaines personnes et des médias à son encontre. J’ai toujours eu confiance en Constant Omari depuis le début et il a toute ma confiance", déclare le président de la CAF.
