Les économistes des États-Unis sont davantage confiants sur la croissance économique américaine pour 2014. Ils prédisent un taux allant jusqu’à 3 %, d’ici à la fin de l’année, même si au premier trimestre, ce taux devrait plafonner aux alentours de 1,9 %, du fait de la rigueur de l’hiver, qui a pénalisé la consommation. Les ménages sont confrontés notamment à des notes de chauffage particulièrement salées.
Le panel des économistes de la National Association for Business Economics (NABE), qui a publié ses perspectives mardi, pense également que la croissance se poursuivra en 2015 à un rythme satisfaisant. Le chômage devrait tomber à 6,4 % cette année, et 6,1 % en 2015, ajoutent les économistes.
A noter que la confiance du consommateur américain a fortement rebondi au mois de mars, à la faveur d'une perception plus favorable du marché du travail et de l'économie en général.
L'indice de l’institut de conjoncture Conference Board mesurant la confiance des consommateurs est ressorti à 82,3 ce mois-ci contre 78,3 en février, bien au-delà du consensus qui visait 78,5.
De son côté, le département américain du Commerce a annoncé que les ventes de logements neufs ont baissé plus que prévu en février, confirmant le ralentissement du marché. A l’origine de cette baisse, supputent les analystes : la hausse des taux de prêts immobiliers, l'envolée des prix et le déficit persistant de logements disponibles sur le marché.
Le panel des économistes de la National Association for Business Economics (NABE), qui a publié ses perspectives mardi, pense également que la croissance se poursuivra en 2015 à un rythme satisfaisant. Le chômage devrait tomber à 6,4 % cette année, et 6,1 % en 2015, ajoutent les économistes.
A noter que la confiance du consommateur américain a fortement rebondi au mois de mars, à la faveur d'une perception plus favorable du marché du travail et de l'économie en général.
L'indice de l’institut de conjoncture Conference Board mesurant la confiance des consommateurs est ressorti à 82,3 ce mois-ci contre 78,3 en février, bien au-delà du consensus qui visait 78,5.
De son côté, le département américain du Commerce a annoncé que les ventes de logements neufs ont baissé plus que prévu en février, confirmant le ralentissement du marché. A l’origine de cette baisse, supputent les analystes : la hausse des taux de prêts immobiliers, l'envolée des prix et le déficit persistant de logements disponibles sur le marché.