Les trois hommes ont été froidement accueillis ce lundi par la neige qui a recouvert la capitale fédérale américaine. Munis de bonnets et de gants, les religieux ne se découragent pas pour autant comme l’explique le révérend Nicolas Guérékoyame Gbangou : "on peut supporter le froid pour prêcher la paix. Lorsqu'on doit défendre une cause noble comme celle que nous défendons, on ne doit pas se plaindre."
Après leur rencontre avec le secrétaire général de l’ONU Ban-Ki moon la semaine dernière, au sujet de l’envoi de casques bleus en Centrafrique, les trois leaders religieux attendent aussi une aide financière massive pour leur pays de la part des Américains. L’imam Omar Kobine Layama explique être " venu apporter la voix du peuple centrafricain et demander l'appui des Etats-Unis."
Jusqu’à vendredi, les trois hommes vont rencontrer, en autre, des membres du Congrès, du Département d’Etat et du Conseil National de Sécurité.
La démocratie américaine reste un modèle pour une Centrafrique à la dérive selon l’archevêque de Bangui, Dieudonné Nzapalainga : "l'union fait la force. Les Etats Unis d'Amérique sont unis et si nous le sommes, notre combat aura du sens. Nous portons la voix des Centrafricains qui aspirent à la dignité, l'unité et au relèvement."
Les trois hommes se rendront ensuite en Europe pour continuer à prêcher la paix et ne rentreront que début avril en Centrafrique.
Après leur rencontre avec le secrétaire général de l’ONU Ban-Ki moon la semaine dernière, au sujet de l’envoi de casques bleus en Centrafrique, les trois leaders religieux attendent aussi une aide financière massive pour leur pays de la part des Américains. L’imam Omar Kobine Layama explique être " venu apporter la voix du peuple centrafricain et demander l'appui des Etats-Unis."
Jusqu’à vendredi, les trois hommes vont rencontrer, en autre, des membres du Congrès, du Département d’Etat et du Conseil National de Sécurité.
La démocratie américaine reste un modèle pour une Centrafrique à la dérive selon l’archevêque de Bangui, Dieudonné Nzapalainga : "l'union fait la force. Les Etats Unis d'Amérique sont unis et si nous le sommes, notre combat aura du sens. Nous portons la voix des Centrafricains qui aspirent à la dignité, l'unité et au relèvement."
Les trois hommes se rendront ensuite en Europe pour continuer à prêcher la paix et ne rentreront que début avril en Centrafrique.