"Je connais mon père. Je sais que quand quelqu'un lui dit que quelque chose est impossible, cela le pousse à aller de l'avant", a-t-il lancé d'entrée, très à l'aise au pupitre.
"J'ai vu cela dans son regard il y a un peu plus d'un an lorsqu'on lui a dit qu'il ne pourrait réussir en politique", a-t-il poursuivi dans une allocution mêlant questions politiques - immigration, éducation, économie - et anecdotes personnelles visant à rendre le magnat de l'immobilier plus proche.
"Vous voulez-savoir quel genre de président il sera ? Laissez-moi vous raconter comment il a géré ses affaires", a poursuivi celui qui est vice-président de la "Trump organization".
Par touches successives, ce père de cinq enfants, âgé de 38 ans, a esquissé le portrait d'un homme attentif aux autres, "qui dit ce qu'il pense, qui n'a pas besoin de se s'en remettre à des spécialistes des statistiques pour se forger une opinion".
Très applaudi, il a conclu en appelant l'Amérique à voter pour son "mentor", son "meilleur ami", son "père".
Peu avant, Tiffany Trump, 22 ans, fille du deuxième des trois mariages de Trump, avait aussi fait l'éloge de son père, devant les milliers de personnes participant à la convention du Parti républicain.
Avec AFP