M. Maindoh dénonce une campagne d’humiliation contre sa personne et affirme avoir tous les jours essuyé l’humiliation d’autres membres dudit parti.
Pour lui, l'assemblée nationale est inféodée et exécute les instructions du gouvernement par rapport à la modification de la Constitution.
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Le député soutient ne vouloir pas être complice dans l'adoption de la nouvelle Constitution.
Car, déplore-t-il, le travail d'un député tchadien n'est pas digne de foi.