La précédente exécution capitale dans ce petit pays d'Afrique australe remonte à mai 2016.
Samedi, Joseph Poni Tselayarona a été pendu après avoir été reconnu coupable en 2017 du meurtre de sa petite amie et du fils de trois ans de cette dernière.
Il avait écopé de 20 ans de prison pour le premier meurtre et de la peine capitale pour le second.
Le président du Botswana Ian Khama, qui doit quitter le pouvoir fin mars, a récemment réaffirmé son attachement à la peine capitale, un moyen selon lui de réduire la criminalité.
"Nous voulons sauver les vies de notre peuple et nous ne pouvons pas vivre dans un pays où des individus choisissent de tuer des innocents", avait-il déclaré, cité par le journal indépendant Monitor.
Avec AFP