Décidée en juillet 2015 par la Fifa, sa suspension de toute activité liée au football -qui prend donc fin- avait déjà été réduite en appel de 7 à 3 ans en avril 2016.
En charge de l'évaluation des candidatures à l'organisation des Coupes du monde 2018 et 2022 attribuées respectivement à la Russie et au Qatar, Mayne-Nicholls avait saisi l'instance basée à Lausanne pour contester la décision de la commission d'éthique de la Fifa.
Selon cette dernière, l'ancien président de la Fédération chilienne de football avait "de sa propre initiative, demandé à plusieurs reprises des faveurs personnelles", lors du processus d'attribution de ces deux Mondiaux.
Il avait notamment demandé des avantages au Qatar au bénéfice de membres de sa famille.
Avec AFP