Les activités se déroulent dans l’enceinte du commissariat en présence des représentants de la MINUSCA et du gouvernement.
Selon la prévision, 500 combattants seraient enregistrés : 150 ex-séléka et 350 membres des groupes d’auto-défense devront être recensés avant la mise en œuvre du projet « Réduction de violence communautaire ».
Michel Apollinaire Bangui, fonctionnaire du Haut-commissariat au DDR, représentant du gouvernement revient sur ces opérations : "C'est la continuité des opérations d'enregistrement sur le profilage professionnel des ex-combattants".
Pour les ex-combattants, c’est le soulagement après trois années d’instabilité. Ce projet leur permettra d’avoir des activités génératrices de revenus.
Selon les organisateurs, si tout se passe comme prévu, les opérations prendront fin le week-end prochain.