"Aucun membre du conseil du comité d'organisation n'a fait valoir d'objection", a assuré Hikariko Ono, porte-parole de Tokyo-2020, en conférence de presse.
Selon elle, les organisateurs "aimeraient apporter une contribution" à la région au nord de la capitale victime du tsunami qui avait fini par provoquer l'accident majeur de la centrale nucléaire de Fukushima.
Un tel choix est soumis à la validation formelle du Comité international olympique (CIO) dont la décision est attendue en décembre, selon l'autre porte-parole Tetsuo Ogura interrogé plus tôt par l'AFP.
Le mois dernier, le président du CIO Thomas Bach avait laissé entendre au terme d'un entretien avec le Premier ministre japonais Shinzo Abe que ce plan était considéré comme une option possible "pour aider à régénérer la zone et permettre de montrer au monde les progrès de la régénération d'ici 2020".
Avec AFP