La jeunesse ivoirienne aspire à un lendemain paisible

L’élection présidentielle du 31 octobre en Côte d’Ivoire a enregistré des tensions et des violences dans quelques villes du pays, suite à l’appel à la désobéissance civile lancé par l’opposition. Au lendemain de ce scrutin présidentiel, un calme précaire règne dans l’ensemble du pays. A Bouaké, ex capitale de la rébellion dirigée par Guillaume Soro, aujourd’hui farouche opposant d’Alassane Ouattara, le vote s’est tenu sans réel incident. La situation est relativement calme dans cette ville ou la peur et l’espoir se ressentent chez les populations.