Les contributions internationales pour remettre la Centrafrique sur les rails sont insuffisantes, a déploré le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon, lors du discours d'ouverture de la 68ème Assemblée générale des Nations Unies.
M. Ban a souligné, mardi, que la majeur partie de la population centrafricaine en province est coupée de toute assistance et exposée aux exactions des groupes armés.
Selon l’Onu, plus de 270 mille personnes ont été déplacées ou se sont réfugiées dans les pays voisins depuis le début de la crise politico-militaire de mars dernier.
Le cas de la RCA, tout comme celui de la RDC, a aussi retenu l'attention du président français François Hollande. A l'ONU, le chef de l'Etat français a appelé à l’action pour rétablir la paix et la sécurité dans ces deux pays, et surtout lutter contre la pauvreté.
Les autorités de transition centrafricaines se montrent incapables de mettre fin aux exactions d’hommes armés, et la force africaine déployée en petit nombre par la Communauté économique des Etats de l'Afrique centrale ne parvient pas à contenir tous les foyers de violence.
D’ailleurs, la commission mixte chargée de faire des investigations sur les violations des droits humains n’a toujours pas pu enquêter en dehors de Bangui, malgré la nécessité d’aller sur le terrain pour faire son travail en province. Le président de cette commission, le magistrat Flammarion Goba, souhaite d’ailleurs que son équipe puisse bénéficier d’une force neutre pour l'escorter dans les zones les plus reculées.
M. Ban a souligné, mardi, que la majeur partie de la population centrafricaine en province est coupée de toute assistance et exposée aux exactions des groupes armés.
Selon l’Onu, plus de 270 mille personnes ont été déplacées ou se sont réfugiées dans les pays voisins depuis le début de la crise politico-militaire de mars dernier.
Le cas de la RCA, tout comme celui de la RDC, a aussi retenu l'attention du président français François Hollande. A l'ONU, le chef de l'Etat français a appelé à l’action pour rétablir la paix et la sécurité dans ces deux pays, et surtout lutter contre la pauvreté.
Les autorités de transition centrafricaines se montrent incapables de mettre fin aux exactions d’hommes armés, et la force africaine déployée en petit nombre par la Communauté économique des Etats de l'Afrique centrale ne parvient pas à contenir tous les foyers de violence.
D’ailleurs, la commission mixte chargée de faire des investigations sur les violations des droits humains n’a toujours pas pu enquêter en dehors de Bangui, malgré la nécessité d’aller sur le terrain pour faire son travail en province. Le président de cette commission, le magistrat Flammarion Goba, souhaite d’ailleurs que son équipe puisse bénéficier d’une force neutre pour l'escorter dans les zones les plus reculées.