La Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), prudemment optimiste à l’approche des élections prévues dimanche en Guinée-Bissau. Selon Sonny Ugoh, directeur de la communication de la CEDEAO, le scrutin promet d’être transparent, libre et juste.
Il s’exprimait au terme d’une visite officielle en Guinée-Bissau du président du Ghana, John Dramani Mahama, également le président de la CEDEAO. M. Mahama s’est rendu jeudi à Bissau, la capitale, dans la perspective des élections.
M. Ugoh a fait valoir que la visite de M. Mahama en Guinée-Bissau témoigne de l'appui de la CEDEAO à ce pays, pour s’assurer que le vote soit pacifique et crédible.
« Cela témoigne de l'intérêt au plus haut niveau que ce scrutin a généré dans la région. [M. Mahama] a parlé à tous ceux qui sont impliqués dans l'élection, et à toutes les parties prenantes pour voir quels arrangements ont été faits, les défis restant - s'il y en a – et pour voir si la communauté régionale peut aider d’une autre façon, afin de s'assurer non seulement que le vote soit libre et juste, mais que le pays soit stabilisé », a déclaré M. Ugoh.
Faute d’argent, la Guinée-Bissau a reporté à deux reprises les élections présidentielles et législatives, qui étaient prévues en 2013. La CEDEAO et ses partenaires internationaux ont pu réunir 20 millions de dollars pour aider à la commission électorale à organiser enfin le vote.
La CEDEAO dispose d'une équipe de 200 observateurs en Guinée-Bissau, a rappelé M. Ugoh.
Il s’exprimait au terme d’une visite officielle en Guinée-Bissau du président du Ghana, John Dramani Mahama, également le président de la CEDEAO. M. Mahama s’est rendu jeudi à Bissau, la capitale, dans la perspective des élections.
M. Ugoh a fait valoir que la visite de M. Mahama en Guinée-Bissau témoigne de l'appui de la CEDEAO à ce pays, pour s’assurer que le vote soit pacifique et crédible.
« Cela témoigne de l'intérêt au plus haut niveau que ce scrutin a généré dans la région. [M. Mahama] a parlé à tous ceux qui sont impliqués dans l'élection, et à toutes les parties prenantes pour voir quels arrangements ont été faits, les défis restant - s'il y en a – et pour voir si la communauté régionale peut aider d’une autre façon, afin de s'assurer non seulement que le vote soit libre et juste, mais que le pays soit stabilisé », a déclaré M. Ugoh.
Faute d’argent, la Guinée-Bissau a reporté à deux reprises les élections présidentielles et législatives, qui étaient prévues en 2013. La CEDEAO et ses partenaires internationaux ont pu réunir 20 millions de dollars pour aider à la commission électorale à organiser enfin le vote.
La CEDEAO dispose d'une équipe de 200 observateurs en Guinée-Bissau, a rappelé M. Ugoh.