"Cela va être l'un des plus beaux cadeaux de Noël qui soit pour les habitants de ce pays qui ont des revenus se situant au milieu de l'échelle", a déclaré M. Trump avant son départ pour Camp David où il doit passer le weekend.
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Estimant que cette réforme serait une excellente nouvelle pour l'emploi, il a jugé qu'elle était indispensable pour faire franchir un palier à la croissance américaine.
"L'économie est désormais à 3% (de croissance). Personne ne pensait qu'on serait à ce niveau. Je pense qu'on peut monter à 4, 5 voire même 6% à terme", a-t-il déclaré.
Interrogé sur l'accroissement de la dette publique que cette réforme entraînera, le président américain s'est voulu rassurant, mettant en avant les recettes supplémentaires qui seraient générées en cas d'accélération de la croissance.
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Selon le texte final, qui devrait être voté par les deux chambres en début de semaine prochaine, l'impôt fédéral sur les sociétés baissera passera de 35% à 21% et le taux maximal de l'impôt sur le revenu sera réduit de 39,6% à 37%, le nombre de tranches restant inchangé.
L'opposition démocrate, minoritaire au Congrès, n'a eu de cesse de dénoncer un projet de loi profitant d'abord aux entreprises et aux contribuables les plus fortunés.
Le vote de cette loi, très attendu dans le camp républicain, serait la première grande réforme du 45e président des Etats-Unis, près d'un an après son arrivée au pouvoir.
Avec AFP