Plus de 5.000 personnes ont trouvé refuge à l'aéroport principal de Bangui, en République centrafricaine (RCA) après plusieurs jours de tirs et troubles dans la capitale.
Selon l'agence pour les réfugiés des Nations Unies (HCR), Bangui est le théâtre depuis plus d'une semaine de violences, pillages, agressions, vols à main armée et autres problèmes, ce qui a incité de nombreux habitants à fuir leurs quartiers.
Les milliers de personnes qui se sont rassemblés à l'aéroport international de Bangui bloquent la piste, précise Arnaud de Baecque, Chef adjoint de délégation du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) à Bangui. Les vols qui devaient attérir dans la capitale centrafricaine ont été détournés sur le Cameroun. Le HCR a exhorté les autorités à utiliser tous les moyens pour rétablir la sécurité et protéger la population.
La ville est en proie à l'anarchie depuis que le mouvement rebelle Seleka a renversé le président François Bozizé en mars. De nombreux miliciens échappent à toute autorité et se livrent à des sévices contre la population.
Le HCR chiffre à plus de 206.000 personnes le nombre de déplacées à travers le pays, en pleine saison des pluies. Quelques 63.000 autres Centrafricains ont fui vers les pays voisins depuis le début de la rébellion Seleka en décembre 2012.
Selon l'agence pour les réfugiés des Nations Unies (HCR), Bangui est le théâtre depuis plus d'une semaine de violences, pillages, agressions, vols à main armée et autres problèmes, ce qui a incité de nombreux habitants à fuir leurs quartiers.
Les milliers de personnes qui se sont rassemblés à l'aéroport international de Bangui bloquent la piste, précise Arnaud de Baecque, Chef adjoint de délégation du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) à Bangui. Les vols qui devaient attérir dans la capitale centrafricaine ont été détournés sur le Cameroun. Le HCR a exhorté les autorités à utiliser tous les moyens pour rétablir la sécurité et protéger la population.
La ville est en proie à l'anarchie depuis que le mouvement rebelle Seleka a renversé le président François Bozizé en mars. De nombreux miliciens échappent à toute autorité et se livrent à des sévices contre la population.
Le HCR chiffre à plus de 206.000 personnes le nombre de déplacées à travers le pays, en pleine saison des pluies. Quelques 63.000 autres Centrafricains ont fui vers les pays voisins depuis le début de la rébellion Seleka en décembre 2012.