A Bamako, le comité de pilotage d’appui au processus électoral a tenu sa deuxième réunion.
Au programme, l’élaboration du fichier électoral biométrique, la participation des refugiés au vote et le budget des élections qui est fixé à 64 milliards de FCFA.
Le premier tour de la présidentielle a été fixée au 7 juillet avec un second tour prévu pour le 21 juillet en même temps que les élections législatives.
Si la communauté internationale semble déterminée à accompagner le gouvernement intérimaire dans l'organisation de ce scrutin, certains acteurs de la classe politique à Bamako doutent que le Mali puisse avoir un vote fiable et démocratique dans seulement un trimestre.
En Francem le président François Hollande a assuré jeudi qu'il serait "intraitable" pour la tenue d'élections au Mali fin juillet, tout en précisant le calendrier de retrait des forces françaises dans ce pays, qui devraient diminuer de 4.000 actuellement à un millier d'hommes d'ici la fin de l'année, indique l'AFP.
Le président a démenti que la France cherchait des candidats pour la prochaine élection présidentielle malienne. "Le temps où la France désignait des chefs d'Etat en Afrique est révolu", a-t-il dit.
Comment se présente la situation sur le terrain?
Au programme, l’élaboration du fichier électoral biométrique, la participation des refugiés au vote et le budget des élections qui est fixé à 64 milliards de FCFA.
Le premier tour de la présidentielle a été fixée au 7 juillet avec un second tour prévu pour le 21 juillet en même temps que les élections législatives.
Si la communauté internationale semble déterminée à accompagner le gouvernement intérimaire dans l'organisation de ce scrutin, certains acteurs de la classe politique à Bamako doutent que le Mali puisse avoir un vote fiable et démocratique dans seulement un trimestre.
En Francem le président François Hollande a assuré jeudi qu'il serait "intraitable" pour la tenue d'élections au Mali fin juillet, tout en précisant le calendrier de retrait des forces françaises dans ce pays, qui devraient diminuer de 4.000 actuellement à un millier d'hommes d'ici la fin de l'année, indique l'AFP.
Le président a démenti que la France cherchait des candidats pour la prochaine élection présidentielle malienne. "Le temps où la France désignait des chefs d'Etat en Afrique est révolu", a-t-il dit.
Comment se présente la situation sur le terrain?