Cela fait un an, jour pour jour, depuis le coup d’état du 22 Mars 2012, que la junte militaire dirigée par le capitaine Amadou Haya Sanogo a renversé le président Amadou Toumani Touré, à quelques semaines de la fin de son mandat. La rébellion, qui avait commencé en janvier, en avait alors profité pour prendre contrôle des deux tiers du territoire.
Un an après les partisans du Putsch estiment que c’était une bonne chose. Bakary Mariko porte-parole du capitaine Sanogo.
Pour rappel, les partisans du putsch ont été accusés d’avoir agressé Soumaila Cissé, et Modibo Sidibé, deux leaders de l’opposition. Et même le président par interim, Diouncounda Traoré, avait été battu sauvagement dans son bureau.
Un an après les partisans du Putsch estiment que c’était une bonne chose. Bakary Mariko porte-parole du capitaine Sanogo.
Pour rappel, les partisans du putsch ont été accusés d’avoir agressé Soumaila Cissé, et Modibo Sidibé, deux leaders de l’opposition. Et même le président par interim, Diouncounda Traoré, avait été battu sauvagement dans son bureau.