Les autorités américaines décrivent Adham Tabaja, dont le réseau s'étend au Moyen-Orient et en Afrique, comme l'un des principaux soutiens financiers du mouvement chiite.
C'est un "très mauvais jour" pour M. Tabaja, a déclaré un responsable américain s'exprimant anonymement.
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Ses gestionnaires et des entreprises basées au Liban, en Sierra Leone et au Ghana sont dorénavant frappés par des embargos commerciaux et un gel de leurs avoirs.
Ces sanctions sont présentées comme les premières d'une "vague" qui va frapper le Hezbollah après un changement de politique ordonné par l'administration Trump.
Depuis l'élection du républicain, les Etats-Unis veulent faire preuve de plus de fermeté à l'égard du Hezbollah et ses soutiens iraniens.
Selon un autre responsable américain le mouvement chiite, poids lourd de la vie politique libanaise considéré par les Etats-Unis comme un groupe "terroriste", reçoit la plus grande partie de son budget (700 millions de dollars par année) du gouvernement iranien.
Avec AFP