A la Conférence internationale de Bruxelles intitulée « Ensemble pour le renouveau du Mali », plus d’une centaine de pays se sont engagés, mercredi, à consacrer quelques 4,2 milliards de dollars pour aider le pays à se reconstruire aux plans économique et politique après la guerre.
Bamako avait fixé à environ 2,5 milliards de dollars la contribution générale au Plan pour la Relance durable du Mali, voué à remettre le pays sur les rails en deux ans.
Le président intérimaire malien Diacounda Traoré s’est félicité de l’effort fourni par la communauté internationale, évoquant une mobilisation sans précédent – du jamais vu, selon lui. Néanmoins, il a également rappelé que la crise traversée par son pays n’est pas survenue du jour au lendemain, et qu’il s’agit pour le pays de reconnaitre que ses signes précurseurs ont été sciemment ignorés.
« La crise malienne a révélé, premièrement, une mal gouvernance dont il nous faut tirer tous les enseignements quand la sérénité retrouvée permettra un débat approfondi et constructif afin de refonder ce que nous croyions solidement amarré, et qui s’est écroulé comme un château de cartes », a déclaré Dioncounda Traoré à Bruxelles.
« Les autorités actuelles du Mali s’engagent à ce que ces ressources qui vont être mises à disposition soient des capitaux pour produire plus de bien-être et plus de bonheur dans notre pays », a assuré, de son côté, le ministre des Affaires étrangères malien, Tiéman Hubert Coulibaly.
« Nous ferons en sorte que le gouvernement et les autorités qui vont être issus des prochaines élections face de cela leur credo », a-t-il promis, avertissant : « les Maliens n’accepteront plus que les principes de gestion des affaires publiques au Mali fassent l’objet de détournements. »
Bamako avait fixé à environ 2,5 milliards de dollars la contribution générale au Plan pour la Relance durable du Mali, voué à remettre le pays sur les rails en deux ans.
Le président intérimaire malien Diacounda Traoré s’est félicité de l’effort fourni par la communauté internationale, évoquant une mobilisation sans précédent – du jamais vu, selon lui. Néanmoins, il a également rappelé que la crise traversée par son pays n’est pas survenue du jour au lendemain, et qu’il s’agit pour le pays de reconnaitre que ses signes précurseurs ont été sciemment ignorés.
« La crise malienne a révélé, premièrement, une mal gouvernance dont il nous faut tirer tous les enseignements quand la sérénité retrouvée permettra un débat approfondi et constructif afin de refonder ce que nous croyions solidement amarré, et qui s’est écroulé comme un château de cartes », a déclaré Dioncounda Traoré à Bruxelles.
« Les autorités actuelles du Mali s’engagent à ce que ces ressources qui vont être mises à disposition soient des capitaux pour produire plus de bien-être et plus de bonheur dans notre pays », a assuré, de son côté, le ministre des Affaires étrangères malien, Tiéman Hubert Coulibaly.
« Nous ferons en sorte que le gouvernement et les autorités qui vont être issus des prochaines élections face de cela leur credo », a-t-il promis, avertissant : « les Maliens n’accepteront plus que les principes de gestion des affaires publiques au Mali fassent l’objet de détournements. »