Le président intérimaire du Mali, Dioncounda Traoré, s’est adressé vendredi soir à la nation. Il a déclaré, en substance, que ceux qui occupent la région de Gao, Tombouctou et Kidal et infligent les pires souffrances à la population sont restés sourds à « nos offres » de dialogue.
Selon M. Traoré, les insurgés veulent étendre au pays tout entier leurs plans criminels. C’est ce qu’ils viennent de prouver en attaquant des positions défendues par les forces de sécurité maliennes dans le secteur de Konna dans la région de Mopti, a-t-il dit.
M. Traoré a, par ailleurs, affirmé qu’en tant que président intérimaire, chef de l’Etat, chef des forces armées, et faisant face à ces derniers développements sur le terrain, il n’avait pas d’autres choix que de procéder à une mobilisation générale de l’armée malienne pour stopper, si nécessaire par le sacrifice ultime, ces plans criminels.
Les Maliens, a-t-il poursuivi, ont le devoir et la responsabilité de défendre par tous les moyens chaque cm2 de leur territoire national. Le président intérimaire malien a exhorté ses compatriotes à transcender leurs querelles mesquines, et de renoncer à tout agenda personnel qui affaiblit inutilement la nation, pour maintenant faire face dans un sursaut patriotique à cette guerre imposée par « nos ennemis ».
Les autorités maliennes ont décrété l’état d’urgence dans tout le pays, et le président Dioncounda Traoré a demandé à chaque Malien, homme et femme, de se considérer désormais comme un soldat de la nation et de se comporter en tant que tel.
Il a appelé toutes les compagnies minières, de téléphone et autres, ainsi que toutes les personnes moralement et physiquement en mesure de le faire, à contribuer à la lutte contre le terrorisme. Tous les services publics, a ajouté M. Traoré, doivent mettre à la disposition de l’armée – sans délai – tout véhicule qui puisse être utile sur le terrain.
Le président intérimaire du Mali a assuré : «Je l'ai dit et répété, la guerre n'est pas notre choix. Notre choix, c'est la paix, encore la paix et toujours la paix. Mais on nous impose la guerre. Nous porterons une riposte cinglante et massive à nos ennemis ».
Selon M. Traoré, la situation au front est essentiellement sous contrôle.
Les forces armées font courageusement face à la situation au prix de leur sang, au prix de leurs vies. Elles défendent la nation, ajoutant d’autres pages glorieuses à l’histoire héroïque de leur pays.
Dans ces heures graves que vit le Mali, et en accord avec la CEDEAO, M. Traoré a dit avoir demandé et obtenu le soutien aérien de la France, un soutien conforme au droit international.
Le Mali et son peuple, a-t-il poursuivi, ne sont pas seuls dans cette lutte contre le terrorisme et tous ceux qui voudraient « nous imposer » une dictature obscurantiste médiévale, amputent des pieds et des mains, violent « nos femmes » et détruisent « notre patrimoine culturel ».
Selon M. Traoré, les insurgés veulent étendre au pays tout entier leurs plans criminels. C’est ce qu’ils viennent de prouver en attaquant des positions défendues par les forces de sécurité maliennes dans le secteur de Konna dans la région de Mopti, a-t-il dit.
M. Traoré a, par ailleurs, affirmé qu’en tant que président intérimaire, chef de l’Etat, chef des forces armées, et faisant face à ces derniers développements sur le terrain, il n’avait pas d’autres choix que de procéder à une mobilisation générale de l’armée malienne pour stopper, si nécessaire par le sacrifice ultime, ces plans criminels.
Les Maliens, a-t-il poursuivi, ont le devoir et la responsabilité de défendre par tous les moyens chaque cm2 de leur territoire national. Le président intérimaire malien a exhorté ses compatriotes à transcender leurs querelles mesquines, et de renoncer à tout agenda personnel qui affaiblit inutilement la nation, pour maintenant faire face dans un sursaut patriotique à cette guerre imposée par « nos ennemis ».
Les autorités maliennes ont décrété l’état d’urgence dans tout le pays, et le président Dioncounda Traoré a demandé à chaque Malien, homme et femme, de se considérer désormais comme un soldat de la nation et de se comporter en tant que tel.
Il a appelé toutes les compagnies minières, de téléphone et autres, ainsi que toutes les personnes moralement et physiquement en mesure de le faire, à contribuer à la lutte contre le terrorisme. Tous les services publics, a ajouté M. Traoré, doivent mettre à la disposition de l’armée – sans délai – tout véhicule qui puisse être utile sur le terrain.
Le président intérimaire du Mali a assuré : «Je l'ai dit et répété, la guerre n'est pas notre choix. Notre choix, c'est la paix, encore la paix et toujours la paix. Mais on nous impose la guerre. Nous porterons une riposte cinglante et massive à nos ennemis ».
Selon M. Traoré, la situation au front est essentiellement sous contrôle.
Les forces armées font courageusement face à la situation au prix de leur sang, au prix de leurs vies. Elles défendent la nation, ajoutant d’autres pages glorieuses à l’histoire héroïque de leur pays.
Dans ces heures graves que vit le Mali, et en accord avec la CEDEAO, M. Traoré a dit avoir demandé et obtenu le soutien aérien de la France, un soutien conforme au droit international.
Le Mali et son peuple, a-t-il poursuivi, ne sont pas seuls dans cette lutte contre le terrorisme et tous ceux qui voudraient « nous imposer » une dictature obscurantiste médiévale, amputent des pieds et des mains, violent « nos femmes » et détruisent « notre patrimoine culturel ».