Au Mali, la population civile et certains députés ne sont pas d’accord avec la proposition de sortie de crise soumise par la France.
D’autre part, le président Amadou Toumani Touré soutient que tous ceux qui ont commis des actes d’atrocité a Aguelhok doivent comparaître par-devant la Cour pénale internationale.
Entre-temps, sur le terrain, les combats continuent entre l’armée et les rebelles au niveau de Tessalit. Le point avec notre correspondant dans la capitale malienne.