Au Pakistan, le célèbre joueur de cricket, Imran Khan, qui s’est lancé dans la politique, a pris la tête samedi d'un cortège de voitures dans la capitale, Islamabad, pour protester contre les frappes de drones américains.
Khan et des membres de son parti, le Mouvement pour la justice, ont rejoint des militants occidentaux et locaux, pour former ce convoi qui a pris la direction du Sud Waziristan le long de la frontière avec l’Afghanistan, une région qui est fréquemment la cible d’attaques de drones américains.
Il est passé outre aux objections de ceux qui faisaient valoir que le convoi pouvait être attaqué par les talibans et d'autres militants islamistes. Un porte-parole des talibans pakistanais a déclaré vendredi qu'il ne pouvait pas garantir la sécurité du convoi et il a par ailleurs qualifié M. Khan « d’homme occidentalisée et laïque ».
Les frappes de drones suscitent une vive controverse entre les Etats-Unis et le Pakistan. Islamabad affirme qu’elles enfreignent sa souveraineté. Les États-Unis voient en elles un outil clé dans l'effort pour vaincre le réseau terroriste Al-Qaïda.
Khan et des membres de son parti, le Mouvement pour la justice, ont rejoint des militants occidentaux et locaux, pour former ce convoi qui a pris la direction du Sud Waziristan le long de la frontière avec l’Afghanistan, une région qui est fréquemment la cible d’attaques de drones américains.
Il est passé outre aux objections de ceux qui faisaient valoir que le convoi pouvait être attaqué par les talibans et d'autres militants islamistes. Un porte-parole des talibans pakistanais a déclaré vendredi qu'il ne pouvait pas garantir la sécurité du convoi et il a par ailleurs qualifié M. Khan « d’homme occidentalisée et laïque ».
Les frappes de drones suscitent une vive controverse entre les Etats-Unis et le Pakistan. Islamabad affirme qu’elles enfreignent sa souveraineté. Les États-Unis voient en elles un outil clé dans l'effort pour vaincre le réseau terroriste Al-Qaïda.