L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF) ont présenté vendredi un nouveau plan d’action mondial. Selon ces agences onusiennes, le but est de sauver, à terme, jusqu’à 2 millions d’enfants par an de la mort par pneumonie ou par diarrhée, deux des maladies les plus meurtrières pour les enfants de moins de cinq ans.
Près de 90 % des décès d’enfants imputables à ces deux fléaux surviennent en Afrique subsaharienne et en Asie du Sud, selon les Nations Unies (ONU).
Ce nouveau plan préconise une plus grande intégration des actions menées pour prévenir et traiter ces deux maladies, a expliqué à la Voix de l’Amérique (VOA) le docteur Renee Van De Weerdt, chef de la section santé maternelle, du nouveau-né et de l'enfant à l'Unicef.
De nombreux facteurs interviennent dans l’apparition de la pneumonie ou de la diarrhée, si bien qu’aucune intervention ne peut suffire, à elle seule, pour prévenir, traiter ou endiguer efficacement l’une ou l’autre de ces maladies, a fait valoir le Dr Van De Weerdt.
Près de 90 % des décès d’enfants imputables à ces deux fléaux surviennent en Afrique subsaharienne et en Asie du Sud, selon les Nations Unies (ONU).
Ce nouveau plan préconise une plus grande intégration des actions menées pour prévenir et traiter ces deux maladies, a expliqué à la Voix de l’Amérique (VOA) le docteur Renee Van De Weerdt, chef de la section santé maternelle, du nouveau-né et de l'enfant à l'Unicef.
De nombreux facteurs interviennent dans l’apparition de la pneumonie ou de la diarrhée, si bien qu’aucune intervention ne peut suffire, à elle seule, pour prévenir, traiter ou endiguer efficacement l’une ou l’autre de ces maladies, a fait valoir le Dr Van De Weerdt.