Au Nigéria, un groupe islamiste revendique l’enlèvement d’un Français dans le nord du pays, tandis que dans le sud, la marine nationale nigériane recherche activement les pirates qui ont enlevé quatre membres d’équipage au large des côtes de l’Etat de Bayelsa.
Selon l’Agence France Presse (AFP), le groupe islamiste Ansaru a revendiqué dimanche l'enlèvement de l'ingénieur Francis Colump, âgé de 63 ans. Il travaillait dans l'Etat septentrional de Katsina pour l'entreprise française Vergnet, spécialisée dans les énergies renouvelables.
Dans un communiqué, le groupe Ansaru menace la France d'autres attaques sur ses ressortissants, en particulier en Afrique noire, justifiant son comportement du fait du rôle « majeur » de Paris dans la préparation d'une intervention militaire au Mali.
Jeudi dernier, le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté une résolution parrainée par la France, autorisant le déploiement d'une force internationale au Mali, pour chasser les islamistes armés qui occupent le nord du pays.
Toujours selon l’AFP, Ansaru - une contraction pour l'Avant-garde pour la protection des musulmans en Afrique noire - aurait des liens avec Boko Haram. Cette milice veut instaurer un Etat islamique dans le nord du Nigeria et est tenu pour responsable de la mort de centaines de personnes depuis 2009.
Entre-temps dans le sud du pays, la marine nigériane s’active pour retrouver les pirates qui ont kidnappé quatre marins, au cours de l'attaque d'un bateau de ravitaillement italien au large de la région pétrolière. Selon un communiqué du Bureau maritime international (BMI), cette attaque s'est produite à quelque 40 milles nautiques des côtes de l'Etat du Bayelsa.
Un porte-parole de la marine nigériane a précisé que cinq patrouilleurs ont été déployés dans le secteur.
Selon l’Agence France Presse (AFP), le groupe islamiste Ansaru a revendiqué dimanche l'enlèvement de l'ingénieur Francis Colump, âgé de 63 ans. Il travaillait dans l'Etat septentrional de Katsina pour l'entreprise française Vergnet, spécialisée dans les énergies renouvelables.
Dans un communiqué, le groupe Ansaru menace la France d'autres attaques sur ses ressortissants, en particulier en Afrique noire, justifiant son comportement du fait du rôle « majeur » de Paris dans la préparation d'une intervention militaire au Mali.
Jeudi dernier, le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté une résolution parrainée par la France, autorisant le déploiement d'une force internationale au Mali, pour chasser les islamistes armés qui occupent le nord du pays.
Toujours selon l’AFP, Ansaru - une contraction pour l'Avant-garde pour la protection des musulmans en Afrique noire - aurait des liens avec Boko Haram. Cette milice veut instaurer un Etat islamique dans le nord du Nigeria et est tenu pour responsable de la mort de centaines de personnes depuis 2009.
Entre-temps dans le sud du pays, la marine nigériane s’active pour retrouver les pirates qui ont kidnappé quatre marins, au cours de l'attaque d'un bateau de ravitaillement italien au large de la région pétrolière. Selon un communiqué du Bureau maritime international (BMI), cette attaque s'est produite à quelque 40 milles nautiques des côtes de l'Etat du Bayelsa.
Un porte-parole de la marine nigériane a précisé que cinq patrouilleurs ont été déployés dans le secteur.