Plusieurs législateurs américains ont exprimé des doutes mercredi sur la possibilité qu’un accord puisse intervenir entre les puissances mondiales et Téhéran sur son programme nucléaire controversé.
Le secrétaire d'Etat américain John Kerry devait discuter avec les membres de la Commission sénatoriale sur les banques de la dernière série de négociations avec Téhéran. Les pourparlers de Genève n'ont pas abouti à un accord, mais M. Kerry reste optimiste, disant que les négociateurs sont très proches d'un accord.
Lors d'une audition mercredi, le président de la commission des Affaires étrangères de la Chambre, le républicain Ed Royce, s’est interrogé publiquement sur les avantages présumés d'un accord.
« Il y a une préoccupation croissante au Congrès que les grandes lignes de cet accord ne répondent pas aux normes requises pour protéger les Etats-Unis et leurs alliés », a dit M. Royce.
Côté démocrate, le député Eliot Engel a également averti que l'Iran a besoin de faire de nouvelles concessions, ou de risquer de nouvelles sanctions.
« Si ces négociations portent sur l’abandon par l’Iran de son programme nucléaire, alors pour témoigner de sa bonne foi, Téhéran devrait, au minimum, cesser l'enrichissement pendant que les négociations sont en cours - point final » a décrété M. Engel.
L'Iran insiste que son programme nucléaire a toujours été conçu à des fins pacifiques et il recherche un assouplissement des sanctions dans le cadre de tout accord. Le département d'Etat américain a mis en garde contre l'adoption de nouvelles sanctions à ce stade, disant que ce serait une erreur. Il exhorte les législateursà accorder un délai supplémentaire à la diplomatie.
Le secrétaire d'Etat américain John Kerry devait discuter avec les membres de la Commission sénatoriale sur les banques de la dernière série de négociations avec Téhéran. Les pourparlers de Genève n'ont pas abouti à un accord, mais M. Kerry reste optimiste, disant que les négociateurs sont très proches d'un accord.
Lors d'une audition mercredi, le président de la commission des Affaires étrangères de la Chambre, le républicain Ed Royce, s’est interrogé publiquement sur les avantages présumés d'un accord.
« Il y a une préoccupation croissante au Congrès que les grandes lignes de cet accord ne répondent pas aux normes requises pour protéger les Etats-Unis et leurs alliés », a dit M. Royce.
Côté démocrate, le député Eliot Engel a également averti que l'Iran a besoin de faire de nouvelles concessions, ou de risquer de nouvelles sanctions.
« Si ces négociations portent sur l’abandon par l’Iran de son programme nucléaire, alors pour témoigner de sa bonne foi, Téhéran devrait, au minimum, cesser l'enrichissement pendant que les négociations sont en cours - point final » a décrété M. Engel.
L'Iran insiste que son programme nucléaire a toujours été conçu à des fins pacifiques et il recherche un assouplissement des sanctions dans le cadre de tout accord. Le département d'Etat américain a mis en garde contre l'adoption de nouvelles sanctions à ce stade, disant que ce serait une erreur. Il exhorte les législateursà accorder un délai supplémentaire à la diplomatie.