Un sénateur américain et le président Barack Obama étaient les destinataires ces derniers jours de missives qui se sont révélées contenir un poison. Mais pour l’instant, aucun lien n’a été établi entre ces lettres et l’attentat à la bombe de Boston.
Selon le Secret Service, les services chargés de protéger le président américain, une lettre adressée au président Obama et contenant une substance « suspecte » a été interceptée dans un centre de triage du courrier à l'extérieur de la Maison Blanche. Donc elle n’a jamais pénétré dans l’enceinte de la demeure présidentielle.
Lors d’une première analyse, la lettre a testé positive à la ricine, a annoncé mercredi le FBI, la police fédérale, en précisant qu’il faudrait procéder à des examens plus approfondis, les premiers résultats n’étant pas toujours fiables.
C’est également mardi que la poste a identifié une lettre empoisonnée à la ricine, qui était adressée au sénateur républicain de l'État du Mississippi,
r. La ricine est hautement toxique, et une petite goutte peut suffire à tuer un adulte.
L’enquête se poursuit, a fait savoir la police fédérale, le FBI, qui œuvre conjointement avec la police chargée de protéger le Capitole, siège du Congrès ici à Washington.
La lettre envoyée au sénateur Wicker, qui a été testée positive à la ricine dans trois analyses distinctes, avait été postée à Memphis, dans le Tennessee, une ville proche du Mississippi.
En 2004, une missive contenant de la ricine avait fait surface dans la salle de tri du courrier du Sénat américain, obligeant les autorités à fermer temporairement deux immeubles de bureaux du Sénat.
La découverte de mardi a ravivé le souvenir d’incidents similaires survenus après les attentats du 11 septembre 2001, lorsque des enveloppes contenant de l’anthrax avaient fait surface dans des bureaux de poste, des salles de rédaction et des bureaux du Congrès. Cinq personnes avaient trouvé la mort, et plusieurs autres étaient tombées malades. Le FBI avait attribué ces attentats à un scientifique travaillant pour le gouvernement fédéral, qui s'est suicidé en 2008.
Pour l’instant, aucun lien n’a été établi entre les lettres contaminées et l’attentat à la bombe survenu lors du marathon de Boston lundi, précisent les autorités.
Selon le Secret Service, les services chargés de protéger le président américain, une lettre adressée au président Obama et contenant une substance « suspecte » a été interceptée dans un centre de triage du courrier à l'extérieur de la Maison Blanche. Donc elle n’a jamais pénétré dans l’enceinte de la demeure présidentielle.
Lors d’une première analyse, la lettre a testé positive à la ricine, a annoncé mercredi le FBI, la police fédérale, en précisant qu’il faudrait procéder à des examens plus approfondis, les premiers résultats n’étant pas toujours fiables.
C’est également mardi que la poste a identifié une lettre empoisonnée à la ricine, qui était adressée au sénateur républicain de l'État du Mississippi,
r. La ricine est hautement toxique, et une petite goutte peut suffire à tuer un adulte.
L’enquête se poursuit, a fait savoir la police fédérale, le FBI, qui œuvre conjointement avec la police chargée de protéger le Capitole, siège du Congrès ici à Washington.
La lettre envoyée au sénateur Wicker, qui a été testée positive à la ricine dans trois analyses distinctes, avait été postée à Memphis, dans le Tennessee, une ville proche du Mississippi.
En 2004, une missive contenant de la ricine avait fait surface dans la salle de tri du courrier du Sénat américain, obligeant les autorités à fermer temporairement deux immeubles de bureaux du Sénat.
La découverte de mardi a ravivé le souvenir d’incidents similaires survenus après les attentats du 11 septembre 2001, lorsque des enveloppes contenant de l’anthrax avaient fait surface dans des bureaux de poste, des salles de rédaction et des bureaux du Congrès. Cinq personnes avaient trouvé la mort, et plusieurs autres étaient tombées malades. Le FBI avait attribué ces attentats à un scientifique travaillant pour le gouvernement fédéral, qui s'est suicidé en 2008.
Pour l’instant, aucun lien n’a été établi entre les lettres contaminées et l’attentat à la bombe survenu lors du marathon de Boston lundi, précisent les autorités.