Le professeur franco-algérien avait été condamné à Paris en 2012 pour terrorisme.
En 2009, l'examen des messages électroniques de ce physicien travaillant au Cern (l'Organisation européenne pour la recherche nucléaire), à Genève, avait révélé des échanges avec un responsable supposé d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) en vue de la préparation d'attentats en Europe et en France.
Il avait été condamné en 2012 à Paris à quatre ans de prison ferme pour terrorisme. Comme il avait déjà accompli deux ans et demi de détention provisoire depuis son arrestation, et avec le jeu des remises de peines, il avait été libéré quelques jours après sa condamnation.
Avec AFP