Le gouvernement ivoirien a annoncé la signature d’un accord cadre pour le démarrage des travaux du projet de train urbain dans la capitale économique, Abidjan.
Un communiqué du ministère des Transports, qui cite le ministre des transports, Gaoussou Touré, précise que « le projet de train urbain reliera Anyama à l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny (FHB), via Abobo, Adjamé, Plateau, Treichville et Port-Bouët. Ce système permettra d’assurer le transport d’environ 300 000 personnes par jour ».
Il s’agit notamment de résoudre le problème des embouteillages monstres à Abidjan, dont la facture ne cesse de s’alourdir.
Le projet rassemble le gouvernement ivoirien et un consortium franco-coréen, dans lequel figurent l’entreprise Bouygues, l’un des géants français de la construction, et le sud-coréen, DongSan. Le coût du projet est évalué à environ 500 millions d’euros, des fonds qui viendront strictement du secteur privé.
L’Agence France Presse (AFP) précise que « l’attribution du marché s’est faite hors de tout appel d’offre, en négociation directe, en raison de l’infructuosité d’une procédure de consultation lancée en 2012 et des délais requis pour en mener une nouvelle ».
Le projet devrait créer 1.000 emplois directs dans sa phase de construction, et pendant l'exploitation, 500 emplois permanents, précisent les média. Il va nécessiter la construction de 13 nouvelles gares et 11 ponts ferroviaires.
Un communiqué du ministère des Transports, qui cite le ministre des transports, Gaoussou Touré, précise que « le projet de train urbain reliera Anyama à l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny (FHB), via Abobo, Adjamé, Plateau, Treichville et Port-Bouët. Ce système permettra d’assurer le transport d’environ 300 000 personnes par jour ».
Il s’agit notamment de résoudre le problème des embouteillages monstres à Abidjan, dont la facture ne cesse de s’alourdir.
Le projet rassemble le gouvernement ivoirien et un consortium franco-coréen, dans lequel figurent l’entreprise Bouygues, l’un des géants français de la construction, et le sud-coréen, DongSan. Le coût du projet est évalué à environ 500 millions d’euros, des fonds qui viendront strictement du secteur privé.
L’Agence France Presse (AFP) précise que « l’attribution du marché s’est faite hors de tout appel d’offre, en négociation directe, en raison de l’infructuosité d’une procédure de consultation lancée en 2012 et des délais requis pour en mener une nouvelle ».
Le projet devrait créer 1.000 emplois directs dans sa phase de construction, et pendant l'exploitation, 500 emplois permanents, précisent les média. Il va nécessiter la construction de 13 nouvelles gares et 11 ponts ferroviaires.