Omar el-Béchir a, dans une déclaration, qualifié les critiques internationales de "colonialistes".
Dans un communiqué conjoint, la Grande-Bretagne, la Norvège et les Etats-Unis ont dénoncé l’incapacité de Khartoum de tenir des élections libres, justes et dans un climat propice.
L’opposition a boycotté ces élections, accusant le président Béchir, au pouvoir depuis 25 ans, d’avoir orchestré son maintien au poste avec un semblant d’élections.
M. Béchir, 71 ans, est pourtant recherché à la Cour Pénale Internationale pour crimes contre l’humanité.