L’armée syrienne poursuit ses bombardements dans la banlieue de Damas alors que des manifestations antigouvernementales sont signalées dans d’autres villes. La violence est en train de déborder de l’autre côté de la frontière, à Tripoli, au Liban, où des heurts ont opposé des habitants sunnites à leurs voisins alaouites.
L’opposition syrienne affirme que trois jours de combat à Daraya, une banlieue de Damas, ont fait au moins 70 morts, essentiellement des civils. De violents combats sont aussi signalés dans d’autres banlieues sunnites où les rebelles sont actifs.
Selon l’Observatoire syrien des droits humains, un groupe de l’opposition, quelques 220 personnes ont été tuées jeudi en Syrie, pour la plupart à Damas et aux alentours.
Le gouvernement syrien, lui, affirme avoir affaire à des terroristes qui tentent, avec le soutien de l’étranger, de renverser le régime du président Bachar Al-Assad.
Le HCR dit que la dégradation de la situation sécuritaire affecte les opérations de secours en faveur des Syriens réfugiés au Liban voisin.
Au cours de la nuit, de nouveaux affrontements ont opposé dans la ville côtière libanaise de Tripoli des sunnites à des alaouites, la communauté à laquelle appartient le président Assad. Des magasins ont été incendiés, apparemment en représailles. Un combattant Sunnite dit à des journalistes que ce sont les Alaouites qui ont violé la trêve en vigueur entre les deux communautés.
Le Premier ministre libanais Najib Mikati a fait savoir, au cours d’une conférence de presse, que les leaders politiques libanais sont en train de travailler pour éteindre les flammes de ce conflit entre communautés.
L’opposition syrienne affirme que trois jours de combat à Daraya, une banlieue de Damas, ont fait au moins 70 morts, essentiellement des civils. De violents combats sont aussi signalés dans d’autres banlieues sunnites où les rebelles sont actifs.
Selon l’Observatoire syrien des droits humains, un groupe de l’opposition, quelques 220 personnes ont été tuées jeudi en Syrie, pour la plupart à Damas et aux alentours.
Le gouvernement syrien, lui, affirme avoir affaire à des terroristes qui tentent, avec le soutien de l’étranger, de renverser le régime du président Bachar Al-Assad.
Le HCR dit que la dégradation de la situation sécuritaire affecte les opérations de secours en faveur des Syriens réfugiés au Liban voisin.
Au cours de la nuit, de nouveaux affrontements ont opposé dans la ville côtière libanaise de Tripoli des sunnites à des alaouites, la communauté à laquelle appartient le président Assad. Des magasins ont été incendiés, apparemment en représailles. Un combattant Sunnite dit à des journalistes que ce sont les Alaouites qui ont violé la trêve en vigueur entre les deux communautés.
Le Premier ministre libanais Najib Mikati a fait savoir, au cours d’une conférence de presse, que les leaders politiques libanais sont en train de travailler pour éteindre les flammes de ce conflit entre communautés.