"Ces tests qui continuent c'est décevant, c'est inquiétant et nous demandons qu'ils arrêtent", a déclaré le secrétaire d'Etat sur la chaîne Fox.
Mais "nous en sommes au début dans la mise en oeuvre de la pression économique et aussi diplomatique sur le régime de la Corée du Nord", a-t-il ajouté.
"Nous espérons qu'ils (les Nord-Coréens) entendront le message que poursuivre leur programme d'armement nucléaire n'est pas un chemin qui mène à la sécurité ou certainement pas à la prospérité".
La Corée du Nord a procédé dimanche à un nouvel essai de missile balistique, dernier en date d'une série de tirs qui ont suscité des condamnations internationales et la menace d'un durcissement des sanctions contre Pyongyang.
D'après l'état-major inter-armées sud-coréen, le missile tiré vers l'est de Pukchang, dans la province de Pyongan Sud, n'a pas encore été identifié. L'engin a parcouru 500 kilomètres environ.
Il s'agit d'un missile de moyenne portée qui est ensuite tombé en mer du Japon, a précisé dans un communiqué le commandement américain chargé du Pacifique (Pacom).
Ce tir de missile est le onzième depuis le début de l'année, après des dizaines de tirs et deux essais nucléaires en 2016.
Avec AFP