Le gouvernement américain va investir plus d’1 milliard de dollars pour renforcer l’accès à l’électricité en Afrique subsaharienne dans le cadre de son initiative « Beyond the Grid ».
Lors de sa tournée en Afrique en 2013, le président Barack Obama avait noté les pénuries d’électricité à travers le continent. Il avait annoncé ce projet ambitieux, visant à permettre à 20 millions de foyers d’accéder à l’électricité dans six pays africains: Ethiopie, Ghana, Kenya, Liberia, Nigeria et Tanzanie.
A l’occasion de la réunion ministérielle Etats-Unis-Afrique sur l'énergie cette semaine à Addis-Abeba, le secrétaire américain à l’Energie, Ernest Moniz, a officiellement inauguré le programme.
« Dans les villages, ou les familles rurales qui n'ont pas l'électricité, il suffit de remarquablement peu pour changer les vies » a noté M. Moniz, évoquant des jeunes pouvant se livrer à la lecture le soir, et l’accès à un environnement propre et sûr. Les possibilités en Afrique sont immenses, a-t-il relevé.
Près d'une trentaine d'investisseurs internationaux se sont engagés à participer à l’initiative, à hauteur de plus d’un milliard de dollars. Il s’agira de financer des projets d'électrification hors réseaux, dont ceux utilisant des sources d'énergies renouvelables, telles que l’énergie solaire ou géothermique. Sans oublier des sources d’énergies plus traditionnelles, telles que le gaz et le pétrole, dont certains pays africains, comme l’Angola ou le Mozambique, regorgent.
Fred Hochberg, président de la U.S. Export-Import Bank, fait remarquer que si M. Obama avait parlé de six pays, beaucoup d'autres finiront par bénéficier du projet.
« Cela couvre vraiment toute l'Afrique sub-saharienne » a-t-il dit, insistant sur le fait que les entreprises locales et régionales profiteraient de ce boom énergétique.
Evoquant les évènements en Ukraine, M. Moniz a rappelé qu’un accès fiable à l’électricité a de nombreuses implications géopolitiques. La sécurité énergétique est une question de sécurité nationale pour les Etats-Unis, mais également pour leurs alliés, a-t-il fait valoir.
Lors de sa tournée en Afrique en 2013, le président Barack Obama avait noté les pénuries d’électricité à travers le continent. Il avait annoncé ce projet ambitieux, visant à permettre à 20 millions de foyers d’accéder à l’électricité dans six pays africains: Ethiopie, Ghana, Kenya, Liberia, Nigeria et Tanzanie.
A l’occasion de la réunion ministérielle Etats-Unis-Afrique sur l'énergie cette semaine à Addis-Abeba, le secrétaire américain à l’Energie, Ernest Moniz, a officiellement inauguré le programme.
« Dans les villages, ou les familles rurales qui n'ont pas l'électricité, il suffit de remarquablement peu pour changer les vies » a noté M. Moniz, évoquant des jeunes pouvant se livrer à la lecture le soir, et l’accès à un environnement propre et sûr. Les possibilités en Afrique sont immenses, a-t-il relevé.
Près d'une trentaine d'investisseurs internationaux se sont engagés à participer à l’initiative, à hauteur de plus d’un milliard de dollars. Il s’agira de financer des projets d'électrification hors réseaux, dont ceux utilisant des sources d'énergies renouvelables, telles que l’énergie solaire ou géothermique. Sans oublier des sources d’énergies plus traditionnelles, telles que le gaz et le pétrole, dont certains pays africains, comme l’Angola ou le Mozambique, regorgent.
Fred Hochberg, président de la U.S. Export-Import Bank, fait remarquer que si M. Obama avait parlé de six pays, beaucoup d'autres finiront par bénéficier du projet.
« Cela couvre vraiment toute l'Afrique sub-saharienne » a-t-il dit, insistant sur le fait que les entreprises locales et régionales profiteraient de ce boom énergétique.
Evoquant les évènements en Ukraine, M. Moniz a rappelé qu’un accès fiable à l’électricité a de nombreuses implications géopolitiques. La sécurité énergétique est une question de sécurité nationale pour les Etats-Unis, mais également pour leurs alliés, a-t-il fait valoir.