Le gouvernement syrien , les forces rebelles et un groupe de défense des droits humains affirme qu’un gaz toxique a fait plusieurs blessés vendredi dans le village de Kfar Zeita, dans le centre de la Syrie. Le gouvernement et les rebelles se rejettent mutuellement la responsabilité de l'incident.
La Coalition nationale syrienne, le principal groupe d'opposition en Syrie, et l'Observatoire syrien des droits de l'homme ont évoqué des raids aériens gouvernementaux suivis d’un dégagement de gaz.
La télévision d'État syrienne a, elle, pointé du doigt les membres du Front al-Nosra, un groupe lié au réseau terroriste Al-Qaïda. Ils auraient utilisé du chlore gazeux à Kfar Zeita, faisant au moins deux morts.
Ces informations n’ont pas pu être vérifiées indépendamment. Des armes chimiques ont déjà été utilisées au cours du conflit en Syrie, qui dure depuis trois ans, notamment en août 2013 à Damas, lorsqu’elles ont fait des centaines de victimes.
Les États-Unis et leurs alliés avaient blâmé le gouvernement syrien, mais le régime de Bachar al- Assad avait accusé les rebelles d’avoir orchestré l’attaque. Le drame a quand même conduit la Syrie à accepter de livrer son stock d'armes chimiques, pour qu’elles soient détruites.
La Coalition nationale syrienne, le principal groupe d'opposition en Syrie, et l'Observatoire syrien des droits de l'homme ont évoqué des raids aériens gouvernementaux suivis d’un dégagement de gaz.
La télévision d'État syrienne a, elle, pointé du doigt les membres du Front al-Nosra, un groupe lié au réseau terroriste Al-Qaïda. Ils auraient utilisé du chlore gazeux à Kfar Zeita, faisant au moins deux morts.
Ces informations n’ont pas pu être vérifiées indépendamment. Des armes chimiques ont déjà été utilisées au cours du conflit en Syrie, qui dure depuis trois ans, notamment en août 2013 à Damas, lorsqu’elles ont fait des centaines de victimes.
Les États-Unis et leurs alliés avaient blâmé le gouvernement syrien, mais le régime de Bachar al- Assad avait accusé les rebelles d’avoir orchestré l’attaque. Le drame a quand même conduit la Syrie à accepter de livrer son stock d'armes chimiques, pour qu’elles soient détruites.