Des responsables syriens ont annoncé que l’électricité est en passe d’être rétablie, après qu’une grande partie du pays eut perdu le courant mercredi soir, suite à une explosion près de l'aéroport international.
Selon le ministre de l'Electricité, Imad Khamis, le problème devrait être résolu dans les 48 heures. L’agence de presse officielle, SANA, a attribué la panne de courant à une attaque « terroriste » contre des gazoducs qui alimentent les usines d'électricité. Mais l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) a pour sa part fait attribué la coupure de courant à une explosion provoquée par des tirs d'artillerie des rebelles visant à la ville de Ghasula , à quelques kilomètres de l'aéroport.
Entre-temps, les inspecteurs de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) chargés d’aider la Syrie à respecter l'échéance du 1er novembre, date à laquelle le pays ne devra plus être en mesure de fabriquer de telles armes, attendent de Damas qu’il soumette ce jeudi son programme de destruction de son arsenal.
Le but reste de débarrasser la Syrie de ses armes chimiques d'ici le milieu de l'année prochaine.
La Syrie a jusqu'à dimanche pour présenter son plan, mais un porte-parole de l'OIAC a déclaré que la mission s'attend à recevoir un document initial dans les 24 heures.
Les inspecteurs de l'OIAC ont visité la plupart des sites dont l’existence a été divulguée par la Syrie, et leurs équipes s’affaire à rendre les armes chimiques inutilisables. L’OIAC s’attend toujours à ce que Damas puisse détruire sa capacité à fabriquer de nouvelles armes chimiques d’ici à la date butoir du 1er novembre.
Selon le ministre de l'Electricité, Imad Khamis, le problème devrait être résolu dans les 48 heures. L’agence de presse officielle, SANA, a attribué la panne de courant à une attaque « terroriste » contre des gazoducs qui alimentent les usines d'électricité. Mais l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) a pour sa part fait attribué la coupure de courant à une explosion provoquée par des tirs d'artillerie des rebelles visant à la ville de Ghasula , à quelques kilomètres de l'aéroport.
Entre-temps, les inspecteurs de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) chargés d’aider la Syrie à respecter l'échéance du 1er novembre, date à laquelle le pays ne devra plus être en mesure de fabriquer de telles armes, attendent de Damas qu’il soumette ce jeudi son programme de destruction de son arsenal.
Le but reste de débarrasser la Syrie de ses armes chimiques d'ici le milieu de l'année prochaine.
La Syrie a jusqu'à dimanche pour présenter son plan, mais un porte-parole de l'OIAC a déclaré que la mission s'attend à recevoir un document initial dans les 24 heures.
Les inspecteurs de l'OIAC ont visité la plupart des sites dont l’existence a été divulguée par la Syrie, et leurs équipes s’affaire à rendre les armes chimiques inutilisables. L’OIAC s’attend toujours à ce que Damas puisse détruire sa capacité à fabriquer de nouvelles armes chimiques d’ici à la date butoir du 1er novembre.