Quelque 82 millions de doses de médicaments « illicites » ont été saisies dans 16 pays africains au cours d’une opération douanière internationale en juillet dernier.
Dans un communiqué conjoint, l'Organisation mondiale des douanes (OMD) et l'Institut de recherche contre le médicament contrefait (IRACM) ont précisé qu’il s’agissait de « la plus grosse opération jamais réalisée » avec la saisie de produits de santé de contrebande ou contrefaits d'une valeur de 40 millions de dollars.
L'Angola, le Togo, le Cameroun et le Ghana étaient les pays où ont été opérées les plus grosses prises. Parmi les médicaments saisis : des antipaludéens, des antiparasitaires et des antibiotiques ou encore des contraceptifs.
Dans une interview avec la Voix de l’Amérique (VOA), le secrétaire général de l'OMD, Kunio Mikuriya, a déclaré que certains des produits saisis pourraient mettre les consommateurs en danger. « Très souvent, ils n'ont pas d’ingrédients actifs. Parfois, ils sont toxiques pour les consommateurs », a-t-il remarqué.
Toujours selon M. Mikuriya, le manque de formation exacerbe le problème. « La contrefaçon est un secteur spécial et les agents des douanes n'ont pas toujours l'expertise nécessaire pour distinguer entre les faux et les vrais médicaments », explique le responsable.
L’opération avait été baptisée « Vice grips 2 ». La plupart des faux médicaments avaient été importés d’Asie du sud et de l’est, et du Proche Orient.
Dans un communiqué conjoint, l'Organisation mondiale des douanes (OMD) et l'Institut de recherche contre le médicament contrefait (IRACM) ont précisé qu’il s’agissait de « la plus grosse opération jamais réalisée » avec la saisie de produits de santé de contrebande ou contrefaits d'une valeur de 40 millions de dollars.
L'Angola, le Togo, le Cameroun et le Ghana étaient les pays où ont été opérées les plus grosses prises. Parmi les médicaments saisis : des antipaludéens, des antiparasitaires et des antibiotiques ou encore des contraceptifs.
Dans une interview avec la Voix de l’Amérique (VOA), le secrétaire général de l'OMD, Kunio Mikuriya, a déclaré que certains des produits saisis pourraient mettre les consommateurs en danger. « Très souvent, ils n'ont pas d’ingrédients actifs. Parfois, ils sont toxiques pour les consommateurs », a-t-il remarqué.
Toujours selon M. Mikuriya, le manque de formation exacerbe le problème. « La contrefaçon est un secteur spécial et les agents des douanes n'ont pas toujours l'expertise nécessaire pour distinguer entre les faux et les vrais médicaments », explique le responsable.
L’opération avait été baptisée « Vice grips 2 ». La plupart des faux médicaments avaient été importés d’Asie du sud et de l’est, et du Proche Orient.