A la demande de sa famille, l'identité de la victime ne sera pas révélée, a précisé lundi l'institut médico-légal de New York.
Des progrès réalisés dans l'extraction de l'ADN et dans les technologies d'examen ont contribué à permettre cette identification, selon l'institut.
Plus de 2.750 personnes avaient été tuées dans les attaques contre les tours du World Trade Center du 11-Septembre, perpétrées par des pirates de l'air membres d'Al-Qaïda.
A ce jour, les restes, généralement des fragments d'os, de 1.641 personnes ont pu être identifiés sur les 2.753 personnes tuées.
L'identification annoncée lundi est la première en plus de deux ans, selon le New York Times.
"Ce travail toujours en cours est vital parce qu'avec chaque nouvelle identification nous pouvons apporter des réponses à des familles affectées par une perte immense", a déclaré au quotidien américain la médecin légiste en chef Barbara Sampson.
Avec AFP