Vive réaction du département d’Etat américain, suite à la condamnation à mort au Soudan d’une femme chrétienne accusée d’apostasie.
« Meriam Yahya Ibrahim Ishag a été condamnée à la flagellation pour adultère, et à être pendue jusqu’à ce que mort s’ensuive pour apostasie parce qu'elle a épousé un chrétien », a dénoncé la porte-parole du gouvernement américain, Caitlin Hayden.
« Nous condamnons fermement cette sentence et exhortons le gouvernement du Soudan à respecter ses obligations en vertu du droit international sur les droits humains », a-t-elle poursuivi dans un communiqué.
Les Etats-Unis ont appelé le gouvernement du Soudan à respecter le droit de Mme Ishag à la liberté de religion, un droit humain universel stipulé dans la constitution intérimaire soudanaise de 2005, ainsi que dans les textes internationaux, notamment la Déclaration universelle des droits de l'homme et le Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
Mme Ishag, qui est enceinte de huit mois, est toujours incarcérée avec son fils de 20 mois. Elle avait été condamnée dimanche pour « apostasie » par un tribunal de Khartoum qui lui a donné jusqu'à jeudi, pour abjurer sa foi ou faire face à une possible condamnation à mort. Elle s’est déclarée chrétienne, et la sentence de mort est tombée.
Selon l’ONG de défense des droits humains Amnesty International (AI), Mme Ishag a été élevée en tant que chrétienne orthodoxe, la religion de sa mère, car son père, un musulman, était absent lors de son enfance. Elle s'est ensuite mariée avec un chrétien du Soudan du Sud. Or, selon la loi islamique en vigueur au Soudan, une femme musulmane ne peut épouser un homme d'une autre religion.
Toujours selon le département d’Etat américain, « Depuis 1999, le Soudan a été désigné comme un pays particulièrement préoccupant pour ses violations continues, flagrantes et systématiques de la liberté religieuse. Nous continuons d'exhorter le Soudan à remplir sa promesse constitutionnelle de la liberté religieuse, et à respecter les libertés fondamentales et les droits humains universels de tous ses habitants », a ajouté Mme Hayden.
« Meriam Yahya Ibrahim Ishag a été condamnée à la flagellation pour adultère, et à être pendue jusqu’à ce que mort s’ensuive pour apostasie parce qu'elle a épousé un chrétien », a dénoncé la porte-parole du gouvernement américain, Caitlin Hayden.
« Nous condamnons fermement cette sentence et exhortons le gouvernement du Soudan à respecter ses obligations en vertu du droit international sur les droits humains », a-t-elle poursuivi dans un communiqué.
Les Etats-Unis ont appelé le gouvernement du Soudan à respecter le droit de Mme Ishag à la liberté de religion, un droit humain universel stipulé dans la constitution intérimaire soudanaise de 2005, ainsi que dans les textes internationaux, notamment la Déclaration universelle des droits de l'homme et le Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
Mme Ishag, qui est enceinte de huit mois, est toujours incarcérée avec son fils de 20 mois. Elle avait été condamnée dimanche pour « apostasie » par un tribunal de Khartoum qui lui a donné jusqu'à jeudi, pour abjurer sa foi ou faire face à une possible condamnation à mort. Elle s’est déclarée chrétienne, et la sentence de mort est tombée.
Selon l’ONG de défense des droits humains Amnesty International (AI), Mme Ishag a été élevée en tant que chrétienne orthodoxe, la religion de sa mère, car son père, un musulman, était absent lors de son enfance. Elle s'est ensuite mariée avec un chrétien du Soudan du Sud. Or, selon la loi islamique en vigueur au Soudan, une femme musulmane ne peut épouser un homme d'une autre religion.
Toujours selon le département d’Etat américain, « Depuis 1999, le Soudan a été désigné comme un pays particulièrement préoccupant pour ses violations continues, flagrantes et systématiques de la liberté religieuse. Nous continuons d'exhorter le Soudan à remplir sa promesse constitutionnelle de la liberté religieuse, et à respecter les libertés fondamentales et les droits humains universels de tous ses habitants », a ajouté Mme Hayden.