La Maison Blanche a fermement condamné le gouvernement intérimaire égyptien pour l'utilisation de la violence contre les partisans du président islamiste déchu Mohamed Morsi.
La Maison Blanche a déclaré que les Etats-Unis ont appelé à plusieurs reprises les forces de sécurité égyptiennes à faire preuve de retenue. Washington a également réitéré son appel aux manifestants –en majorité des islamistes-- à «manifester pacifiquement».
Dans un point de presse dans le Massachusetts, où le président Barack Obama est en vacances, un porte-parole a déclaré que la Maison Blanche s'oppose également à l'imposition de l'état d'urgence, en réponse à l'agitation croissante dans le pays.
Les puissances européennes ont également exhorté le gouvernement égyptien et ses opposants islamistes à éviter une escalade de la violence et à revenir à un dialogue politique.
Autre réaction, un porte-parole de l'ONU a fait savoir que le secrétaire général Ban Ki-moon condamne la violence en Egypte dans les termes les plus forts, et regrette que les autorités égyptiennes aient choisi d'utiliser la force contre les manifestants.
Le gouvernement intérimaire soutenu par l'armée en Egypte a lancé une répression meurtrière contre des camps de protestation pro-Morsi au Caire plus tôt dans la journée, déclenchant la condamnation de dirigeants des pays musulmans qui ont soutenu le leader déchu.
La Maison Blanche a déclaré que les Etats-Unis ont appelé à plusieurs reprises les forces de sécurité égyptiennes à faire preuve de retenue. Washington a également réitéré son appel aux manifestants –en majorité des islamistes-- à «manifester pacifiquement».
Dans un point de presse dans le Massachusetts, où le président Barack Obama est en vacances, un porte-parole a déclaré que la Maison Blanche s'oppose également à l'imposition de l'état d'urgence, en réponse à l'agitation croissante dans le pays.
Les puissances européennes ont également exhorté le gouvernement égyptien et ses opposants islamistes à éviter une escalade de la violence et à revenir à un dialogue politique.
Autre réaction, un porte-parole de l'ONU a fait savoir que le secrétaire général Ban Ki-moon condamne la violence en Egypte dans les termes les plus forts, et regrette que les autorités égyptiennes aient choisi d'utiliser la force contre les manifestants.
Le gouvernement intérimaire soutenu par l'armée en Egypte a lancé une répression meurtrière contre des camps de protestation pro-Morsi au Caire plus tôt dans la journée, déclenchant la condamnation de dirigeants des pays musulmans qui ont soutenu le leader déchu.