Dans un communiqué publié samedi, la Maison Blanche a annoncé que les Etats-Unis félicitent le président Uhuru Kenyatta pour son élection. Washington a également demandé « instamment à tous les Kenyans d'accepter pacifiquement les résultats de l'élection ».
La Cour suprême du Kenya a entériné samedi les résultats de l’élection présidentielle du 4 mars. Le scrutin a été déclaré « libre, équitable, transparente et crédible ».
Cet arrêt a confirmé l'élection à la présidence de M. Kenyatta.
Au cours des derniers jours, les juges avaient examiné des allégations d’irrégularités dans le processus de dépouillement du scrutin.
La Commission électorale nationale du Kenya avait déclaré M. Kenyatta vainqueur du premier tour avec un peu plus de 50 pourcent des voix, ce qui lui a évité un second tour. Mais son principal opposant, Raila Odinga, a crié à la fraude, arguant du fait que les décomptes des suffrages dans certains bureaux de vote avaient été modifiés. Samedi, M. Odinga s'est engagé à respecter l'arrêt de la Cour suprême et a offert ses meilleurs vœux à M. Kenyatta.
Toujours selon le communiqué de la Maison-Blanche, « le processus électoral et le règlement pacifique des différends dans le système juridique kényan témoignent des progrès réalisés par le Kenya dans le renforcement de ses institutions démocratiques ».
Il est temps maintenant pour les Kenyans de s'unir pour mettre pleinement en œuvre les réformes politiques, institutionnelles et de bonne gouvernance envisagées par la Constitution kenyane, a rappelé l’administration Obama.
La Cour suprême du Kenya a entériné samedi les résultats de l’élection présidentielle du 4 mars. Le scrutin a été déclaré « libre, équitable, transparente et crédible ».
Cet arrêt a confirmé l'élection à la présidence de M. Kenyatta.
Au cours des derniers jours, les juges avaient examiné des allégations d’irrégularités dans le processus de dépouillement du scrutin.
La Commission électorale nationale du Kenya avait déclaré M. Kenyatta vainqueur du premier tour avec un peu plus de 50 pourcent des voix, ce qui lui a évité un second tour. Mais son principal opposant, Raila Odinga, a crié à la fraude, arguant du fait que les décomptes des suffrages dans certains bureaux de vote avaient été modifiés. Samedi, M. Odinga s'est engagé à respecter l'arrêt de la Cour suprême et a offert ses meilleurs vœux à M. Kenyatta.
Toujours selon le communiqué de la Maison-Blanche, « le processus électoral et le règlement pacifique des différends dans le système juridique kényan témoignent des progrès réalisés par le Kenya dans le renforcement de ses institutions démocratiques ».
Il est temps maintenant pour les Kenyans de s'unir pour mettre pleinement en œuvre les réformes politiques, institutionnelles et de bonne gouvernance envisagées par la Constitution kenyane, a rappelé l’administration Obama.