Au Zimbabwe, la date du référendum sur la nouvelle constitution est connue. Ce sera le samedi 16 Mars 2013. Le pays a donc seulement un mois pour s’y préparer.
Le projet de constitution, qui sera soumis au vote des Zimbabwéens, est le résultat d'un long processus de rédaction souvent controversé qui a commencé en 2009. Il est soutenu par les deux principaux partis politiques du pays, la ZANU-PF et le Mouvement pour un changement démocratique (MDC).
Le Premier ministre zimbabwéen, Morgan Tsvangirai, a déclaré mercredi que les élections présidentielle et législatives devraient être organisées en juillet. Cette information n’a été confirmée ni par le président Robert Mugabe, ni par son parti, la ZANU-PF. Néanmoins M. Mugabe a déjà évoqué la tenue d’un tel scrutin vers le milieu de 2013.
La Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC, bloc sous-régional), a exigé que la nouvelle Constitution soit approuvée avant que le Zimbabwe n’envisage de nouvelles élections pour remplacer le gouvernement d'union nationale mis en place 2008.
La SADC a mandaté le président sud-africain, Jacob Zuma, de surveiller ce processus.
Le projet de constitution, qui sera soumis au vote des Zimbabwéens, est le résultat d'un long processus de rédaction souvent controversé qui a commencé en 2009. Il est soutenu par les deux principaux partis politiques du pays, la ZANU-PF et le Mouvement pour un changement démocratique (MDC).
Le Premier ministre zimbabwéen, Morgan Tsvangirai, a déclaré mercredi que les élections présidentielle et législatives devraient être organisées en juillet. Cette information n’a été confirmée ni par le président Robert Mugabe, ni par son parti, la ZANU-PF. Néanmoins M. Mugabe a déjà évoqué la tenue d’un tel scrutin vers le milieu de 2013.
La Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC, bloc sous-régional), a exigé que la nouvelle Constitution soit approuvée avant que le Zimbabwe n’envisage de nouvelles élections pour remplacer le gouvernement d'union nationale mis en place 2008.
La SADC a mandaté le président sud-africain, Jacob Zuma, de surveiller ce processus.