Les autorités ghanéennes ont arrêté plus de 160 ressortissants chinois dans le cadre de la lutte contre l'exploitation aurifère illégale.
Isaac Kojo Abraham, le porte-parole de la Commission des mines du Ghana, a déclaré que les Chinois détenus qui n'avaient pas les documents appropriés seraient expulsés vers la Chine. « Nous allons faire en sorte que les agences de sécurité veillent à ce que tous ces gens qui font l'exploitation minière illégale au Ghana, sans les documents requis, soient expulsés », a-t-il déclaré.
Parmi les personnes interpellées figurent une quinzaine de femmes qui ne sont pas accusées d’exploitation minière illégale, a précisé Francis Palmdeti, directeur des relations publiques du service d’immigration du Ghana. « Les autres ont été arrêtés pour exercice d’exploitation minière de petite échelle, qui est interdite aux étrangers. Donc les étrangers qui se lancent dans cette activité, violent la loi. »
Cette répression intervient environ un mois après que le président John Dramani Mahama eut formé un groupe de travail pour lutter contre l'exploitation minière illégale au Ghana, deuxième plus grand exportateur d'or d'Afrique après l'Afrique du Sud. Pour M. Palmdeti, ces arrestations ne sont que le début d’une vaste répression. « Pour l’instant le contrôle se concentre sur quatre régions : la région d’Ashanti, le centre, et les régions de l’Ouest et de l’Est. Ce contrôle est continu. Il ne s’est pas arrêté et va s’étendre a d’autres régions où nous savons qu’il y a la petite exploitation minière », a-t-il dit.
Pour lui, il ne s’agit pas seulement de protéger les emplois des Ghanéens.
« Nous essayons de protéger l’environnement, la foret, et les cours d’eaux qui sont en train d’être détruits par les activités irresponsables de petits exploitants miniers », a-t-il fait valoir.
Les paysans ghanéens se plaignent aussi de la destruction de leurs champs par les mineurs clandestins.
Isaac Kojo Abraham, le porte-parole de la Commission des mines du Ghana, a déclaré que les Chinois détenus qui n'avaient pas les documents appropriés seraient expulsés vers la Chine. « Nous allons faire en sorte que les agences de sécurité veillent à ce que tous ces gens qui font l'exploitation minière illégale au Ghana, sans les documents requis, soient expulsés », a-t-il déclaré.
Parmi les personnes interpellées figurent une quinzaine de femmes qui ne sont pas accusées d’exploitation minière illégale, a précisé Francis Palmdeti, directeur des relations publiques du service d’immigration du Ghana. « Les autres ont été arrêtés pour exercice d’exploitation minière de petite échelle, qui est interdite aux étrangers. Donc les étrangers qui se lancent dans cette activité, violent la loi. »
Cette répression intervient environ un mois après que le président John Dramani Mahama eut formé un groupe de travail pour lutter contre l'exploitation minière illégale au Ghana, deuxième plus grand exportateur d'or d'Afrique après l'Afrique du Sud. Pour M. Palmdeti, ces arrestations ne sont que le début d’une vaste répression. « Pour l’instant le contrôle se concentre sur quatre régions : la région d’Ashanti, le centre, et les régions de l’Ouest et de l’Est. Ce contrôle est continu. Il ne s’est pas arrêté et va s’étendre a d’autres régions où nous savons qu’il y a la petite exploitation minière », a-t-il dit.
Pour lui, il ne s’agit pas seulement de protéger les emplois des Ghanéens.
« Nous essayons de protéger l’environnement, la foret, et les cours d’eaux qui sont en train d’être détruits par les activités irresponsables de petits exploitants miniers », a-t-il fait valoir.
Les paysans ghanéens se plaignent aussi de la destruction de leurs champs par les mineurs clandestins.