Des doutes sont pourtant apparus à Kinshasa suite à cette annonce quant à l’application réelle de ce volet de l’accord exigée aussi bien par l’opposition que la société civile dont le Conférence épiscopale nationale du Congo, médiatrice dans la crise.
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Des hommes politiques cités dans l’accord ne semblent pas être concernés par la libération. Même si l’accord parle de "libération des prisonniers politiques".
Parmi ces politiciens, les opposants Eugène Diomi et Jean-Claude Muyambo deux des cas emblématiques cités dans l’accord.
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Les autorités judiciaires ont aussitôt démenti la rumeur qui évoquait la libération de ces deux personnes
"C’est totalement faux ", a déclaré le garde des Sceaux à TopCongo FM, radio partenaire de VOA Afrique.
"17 personnes seront en effet libérées mais ils n’ont rien à voir avec Diomi et Mbuyambo", a confirmé Alexis Thambwe Mwamba, le ministre congolais de la Justice.
Au niveau du Comité national de suivi de l’accord, l’information n’est pas confirmée.
Ses membres, contactés par VOA Afrique, affirment attendre d'être informés.