L’ONG de défense de l’environnement, Greenpeace, a demandé l'interdiction de sept pesticides. Dans un rapport, Greenpeace les a accusés d’avoir contribué au déclin des abeilles, de par leur nocivité.
Même si leur emploi se traduit par une augmentation des rendements agricoles, cet avantage peut être annulé du fait que la disparition des abeilles enlève à d’autres secteurs de l’agriculture des pollinisateurs clés, explique Anaïs Fourest de Greenpeace France.
Parmi les insecticides jugés néfastes : l’imidaclopride et le clothianidine de la société Bayer. Le thiamethoxam de Syngenta, le finopril et le clorpyriphos de BASF, et puis la cyperméthrine et la deltaméthrine.
Lors du prochain Conseil européen prévu début mai, les Etats membres de l'Union européenne (UE) doivent se mettre d'accord sur l'interdiction des trois pesticides néonicotinoïdes. Lors du premier vote au Conseil, le 15 mars, 13 pays ont voté pour l'interdiction, tandis que cinq autres se sont abstenus.
Les abeilles et autres insectes pollinisateurs contribuent à la reproduction de plus de 80 % des espèces végétales et jouent donc un rôle clé dans les cultures vivrières à travers le monde. Le secteur apicole emploie par ailleurs des milliers de personnes. Donc le phénomène de surmortalité qui affecte depuis des années les abeilles menacent toute la chaine alimentaire.
Même si leur emploi se traduit par une augmentation des rendements agricoles, cet avantage peut être annulé du fait que la disparition des abeilles enlève à d’autres secteurs de l’agriculture des pollinisateurs clés, explique Anaïs Fourest de Greenpeace France.
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Parmi les insecticides jugés néfastes : l’imidaclopride et le clothianidine de la société Bayer. Le thiamethoxam de Syngenta, le finopril et le clorpyriphos de BASF, et puis la cyperméthrine et la deltaméthrine.
Lors du prochain Conseil européen prévu début mai, les Etats membres de l'Union européenne (UE) doivent se mettre d'accord sur l'interdiction des trois pesticides néonicotinoïdes. Lors du premier vote au Conseil, le 15 mars, 13 pays ont voté pour l'interdiction, tandis que cinq autres se sont abstenus.
Les abeilles et autres insectes pollinisateurs contribuent à la reproduction de plus de 80 % des espèces végétales et jouent donc un rôle clé dans les cultures vivrières à travers le monde. Le secteur apicole emploie par ailleurs des milliers de personnes. Donc le phénomène de surmortalité qui affecte depuis des années les abeilles menacent toute la chaine alimentaire.