La Guinée a déployé une caméra à l'aéroport de Conakry pour aider à juguler l’épidémie de fièvre Ebola qui a fait plus de 100 morts.
« Nous avons installé une caméra thermique pour nous permettre de prendre la température de tous les passagers qui entrent dans l'aéroport, et qui se dirigent vers la zone d'enregistrement des bagages », a expliqué Abdel Kader Yombouno, directeur général adjoint de la société de gestion et d'exploitation de l'aéroport de Conakry-Gbessia (SOGEAC).
« Cette caméra thermique nous permet de savoir immédiatement qui, parmi les passagers, a une température supérieure à 38 degrés Celsius. Ce qui déclenche un signal d’alerte », a poursuivi M. Kader Yombouno.
Une passagère interpellée grâce à la machine s'est félicitée de sa vigilance. « Cette mesure est une bonne chose. J'étais déjà allée à l'hôpital et les gens m'ont dit que tout allait bien », a dit Miriam Condé, une habitante de Conakry.
La nouvelle procédure vise non seulement à détecter les cas possibles d'Ebola, mais également à rassurer les passagers qui se sentiro mieux en sûreté.
« Nous sommes ici depuis vendredi », a expliqué un responsable guinéen de la sante, Benoît Koundouno. « Avec cette fièvre hémorragique Ebola, il y a eu beaucoup de problèmes, plus à l'extérieur du pays qu’à 'intérieur. Les machines [caméras thermiques] sont là pour rassurer les voyageurs », dit-il.
« Nous avons installé une caméra thermique pour nous permettre de prendre la température de tous les passagers qui entrent dans l'aéroport, et qui se dirigent vers la zone d'enregistrement des bagages », a expliqué Abdel Kader Yombouno, directeur général adjoint de la société de gestion et d'exploitation de l'aéroport de Conakry-Gbessia (SOGEAC).
« Cette caméra thermique nous permet de savoir immédiatement qui, parmi les passagers, a une température supérieure à 38 degrés Celsius. Ce qui déclenche un signal d’alerte », a poursuivi M. Kader Yombouno.
Une passagère interpellée grâce à la machine s'est félicitée de sa vigilance. « Cette mesure est une bonne chose. J'étais déjà allée à l'hôpital et les gens m'ont dit que tout allait bien », a dit Miriam Condé, une habitante de Conakry.
La nouvelle procédure vise non seulement à détecter les cas possibles d'Ebola, mais également à rassurer les passagers qui se sentiro mieux en sûreté.
« Nous sommes ici depuis vendredi », a expliqué un responsable guinéen de la sante, Benoît Koundouno. « Avec cette fièvre hémorragique Ebola, il y a eu beaucoup de problèmes, plus à l'extérieur du pays qu’à 'intérieur. Les machines [caméras thermiques] sont là pour rassurer les voyageurs », dit-il.